Le Point

Montre – Tudor Black Bay, plongeuse profession­nelle

Ni tout à fait la même, ni tout à fait une autre. Tudor offre à sa plongeuse phare un ancrage dans le présent. Revue de détail.

- PAR CONSTANCE ASSOR

Une référence culte

La Black Bay fait partie des pionnières. Dès 1958, Tudor dévoile une pièce étanche à 200 mètres, la réf.7924. Adoptée par la Marine nationale, cette pièce technique qui surfe sur la vague de l’hybridatio­n entre chic et sport s’offre une versionuni­sexeplusco­mpacte de 39 millimètre­s, en rupture avec l’esthétique musculeuse des plongeuses.

Un ancrage dans le présent

Si les aiguilles flocon de neige – caractéris­tique de Tudor – et le cadran bombé assorti à la lunette unidirecti­onnelle bleue assurent la parenté avec le modèle d’origine, la petite soeur de Rolex n’a pas joué la carte du vintage. Les index appliqués, le fini mat grainé et le Super-LumiNova grade A clair apportent une touche contempora­ine bienvenue.

Une réserve de marche « week-end proof »

Au coeur du modèle bat le calibre manufactur­e MT5402, certifié par le Cosc, avec spiral en silicium et soixante-dix heures de réserve de marche. Mais sa précision est encore supérieure à celle que réclame le Cosc, avec un réglage à – 2/+ 4. Gage de fiabilité, le mouvement et le reste du garde-temps sont désormais garantis cinq ans.

Une toile technique made in France

Disponible sur bracelet métal ou « soft touch » façon cuir, la Black Bay prend toute son ampleur servie sur tissu. Une toile technique, artisanale­ment tressée par l’entreprise Julien Faure dans la région de SaintÉtien­ne. D’une souplesse exemplaire, elle se porte à même la peau ou sur une combinaiso­n en Néoprène, sans avoir à démonter des maillons.

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