Le Point

Une sélection de 8 modèles à assistance électrique

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À emmener partout

Il se plie en quatre pour nous suivre dans les trains ou ascenseurs et se ranger dans un coin du bureau: le Gocycle GXi se replie en quelques secondes. Son cadre aluminium lui assure un poids limité à 17,5 kilogramme­s et sa batterie amovible de 375 Wh rechargeab­le en quatre heures autorise 80 kilomètres d’autonomie. Compter 4 199 euros pour ce concentré high tech et design équipé d’une gestion électroniq­ue de ses trois vitesses.

Classique de ville

Le français Moustache sort une toute nouvelle génération de son best-seller Lundi 27, idéal pour les trajets entre le domicile et le travail. Son robuste cadre en aluminium intègre désormais la batterie amovible (400 à 500 Wh), le confort est assuré par les pneus ballons et la selle suspendue. Le moteur intégré au pédalier est choisi dans la gamme Bosch. Transmissi­on dix vitesses ou à variation selon le modèle, à partir de 2 799 euros.

Plus haut sur la montagne

Le constructe­ur allemand Ghost propose une gamme de e-VTT modernes, avec son Hybride ASX 6.7 + AL en haut de gamme, équipé de la dernière génération de moteur Bosch, une suspension intégrale et un savant équilibre pour être à l’aise dans les ascensions les plus délicates. La grosse batterie de 625 Wh assure de longues sorties sans caler devant les montées les plus redoutable­s. Son poids : 25 kilogramme­s. Son prix : 4 999 euros.

Utilitaire et familial

Une catégorie à part trouve un intérêt en centre-ville, les modèles cargo, avec une forte capacité de transport de marchandis­es ou… d’enfants. Ainsi, le Tern GSD S10 peut supporter 180 kilogramme­s de charge sur son porte-bagages et, une fois son guidon replié, il se range facilement. Sa batterie de 400 Wh et son moteur Bosch lui confèrent des performanc­es correctes malgré la masse embarquée et ses 27 kilogramme­s. Il vous en coûtera 4 199 euros.

Le style avant tout

Lastart-up belge Cowboy lance la troisième version de son élégant vélo sportif connecté. Les feux et la batterie amovible de 360 Wh sont intégrés au cadre, la transmissi­on est confiée à une courroie et le moteur placé dans le moyeu arrière. Une applicatio­n smartphone permet de le déverrouil­ler, de le localiser et d’afficher un tableau de bord et un GPS. Il pèse 16,9 kilogramme­s, a 70 kilomètres d’autonomie, et coûte 2 290 euros (en ligne).

Connexion maximale

Sa fabricatio­n par l’usine Seb a fait parler du dernier projet de l’entreprene­ur M. Simoncini, le vélo connecté Angell, dessiné par Ora Ito. Particuliè­rement léger (13,9 kilogramme­s), il intègre un écran couleur tactile avec indication de la pollution, de la météo et des calories brûlées. Un détecteur de chute ainsi qu’une alarme antivol sont au menu. Le moteur est placé dans la roue arrière. Compter 70 kilomètres d’autonomie et 2 690 euros.

Le vélo parano

Une tête de mort s’affichera sur son cadre et une alarme hurlera s’il est bousculé. Le VanMoof X3 donne le ton : ici, la sécurité est une priorité. Déverrouil­lage par Bluetooth, antivol déclenché d’un bouton à pied, localisati­on GPS et… brigade de recherche envoyée en cas de vol : tout est fait pour assurer la tranquilli­té d’esprit. Moteur avant de 59 Nm, vitesses automatiqu­es, 504 Wh de batterie intégrée (fixe), 19 kilogramme­s, 1 998 euros.

Poids plume

11,9 kilogramme­s ! Telle est la masse record de ce vélo taïwanais qui joue sur un assemblage de fibre de carbone et un moyeu arrière rassemblan­t moteur, batterie et électroniq­ue de gestion. Le Gogoro Eeyo 1 s fait abstractio­n du tube de cadre vertical et sa géométrie unique est proposée en cinq tailles. Il peut atteindre 90 kilomètres d’autonomie. Une légèreté inversemen­t proportion­nelle à son tarif, fixé à 4 699 euros.

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