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Un chemin qui mene a Rome

1. a, b et c. Selon Tacite, Sénèque se fit couper les veines des bras, puis des jambes. Le sang s’écoulant trop lentement, il prit de la ciguë, mais « ses membres déjà froids et ses vaisseaux rétrécis se refusaient à l’activité du poison ». Pour terminer, il se fit porter dans une étuve dont les vapeurs finirent par l’étouffer.

2. b. « La putain impériale » (a) (meretrix augusta) était le surnom de Messaline, femme de l’empereur Claude. « La pipelette du Palatin » (c) désigne l’historien Suétone. L’ode d’Horace célèbre la victoire d’Octave, futur empereur Auguste, sur son rival Antoine et sa maîtresse Cléopâtre à Actium en 31 avant J.-C.

3. Nominatif : rosa. Vocatif : rosa. Accusatif : rosam. Génitif : rosae. Datif : rosae. Ablatif : rosa (le « a » final est long, ce qui le distingue du nominatif et du vocatif).

4. b et c. Les saturnales, qui étaient la fête la plus joyeuse célébrée à Rome, avaient lieu aux alentours du 16 décembre. Pour rendre hommage à Saturne, toutes les activités s’arrêtaient, et les rôles pouvaient s’inverser au sein d’une société romaine très hiérarchisée.

Passeport pour l'Olympe

1. a-4, b-5, c-2, d-3, e-1.

2. b. D’après Pline l’Ancien, Zeuxis dut s’avouer vaincu « avec une franchise modeste, puisque lui n’avait trompé que des oiseaux, alors que Parrhasios avait trompé un artiste, qui n’était autre que Zeuxis ».

3. c. Les Grecs sautaient avec des poids, ce qui laisse supposer qu’ils sautaient à l’arrêt. Le pentathlon (a) était composé du saut en longueur, de la course à pied, du lancer de disque, du lancer du javelot et de la lutte. Un combat de boxe (b) n’avait pas de limite de temps et ne s’arrêtait que lorsqu’un des deux combattants était K.-O. ou levait la main pour interrompre le combat.

4. b. Déjanire, la compagne du héros, prit peur en voyant que ce dernier lui préférait la jeune captive Iole. Elle lui envoya une tunique enduite non pas du sang du centaure Nessos, seul moyen, d’après ce dernier, de « fixer le coeur » de son époux, mais du sang de l’hydre de Lerne tuée par Héraclès. Celui-ci, souffrant atrocement, s’installa sur un bûcher funéraire auquel fut mis le feu. Zeus, pris de pitié, l’accueillit parmi les immortels sur l’Olympe.