Alice et Marcel renouvellent leurs voeux
Marcel Potier et Alice Guesdon se sont mariés à Buais le 28 juillet 1956. Ils avaient tous les deux 21 ans. Entourés de leur famille et leurs amis, « Les Potier » fêtaient leurs noces de diamant, samedi.
À cette occasion, ils étaient accueillis à la mairie par Éric Courteille. Le premier magistrat a mis l’accent sur l’implication des époux dans la vie communale depuis leur retour au pays à l’heure de la retraite, dans les années 1990. Ils participent activement à la vie de Buais au travers du comité des fêtes, du club Entente et Amitié et enfin Alice au conseil municipal en tant qu’adjointe au maire ; qui était à l’époque Raymond Lesellier. « Maintenant que vous avez cessé toutes vos fonctions, cela ne vous empêche pas de participer régulièrement aux manifestations de la commune », apprécie Éric Courteille. Maryline Guérin, adjointe au maire, a donné lecture de l’acte de mariage d’il y a 60 ans. Puis, Alice et Marcel ont renouvelé leur consentement.
Tony, l’un de leurs petits-enfants, a alors pris la parole au nom de tous. « Je ne vais pas raconter votre jeunesse, votre rencontre et votre vie, car je ne connais pas suffisamment le sujet et je risquerais de raconter des bêtises. D’ailleurs à ce sujet, nous aimerions que vous nous racontiez un jour, comment vous vous êtes connus, le premier baiser », espère le jeune homme qui sait quand même que ses grandsparents ont commencé à travailler jeune, qu’ils ont traversé des épreuves parfois difficiles. « Je tiens à vous dire merci car de votre amour sont nés trois enfants qui vous ont donné sept « merveilleux » petits-enfants que vous avez dorlotés, consolés, emmenés en vacances et même grondés parfois. Et la famille continue de s’agrandir avec trois arrière-petits-enfants, et ça n’est pas fini ». Avant de terminer par la transmission de vraies valeurs comme le respect envers les autres. « Vous nous donnez tellement. Un rien vous comble. Vous êtes un sacré modèle de vie ».
En clin d’oeil à l’année de leur mariage, une bonne partie de l’assistance était habillée à la mode des années 1950.