Le Publicateur Libre

Une belle fête sous un ciel andalou

Le dernier week-end du mois d’août a été marqué par la fête de la Guibray. Cette nouvelle édition a été accompagné­e par une météo clémente très favorable.

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Tout a commencé samedi 27 août avec le vide-greniers.

S’il y avait moins d’exposants que d’habitude sur le champ de foire, en revanche, les étalages étaient plus nombreux dans le bourg, de part et d’autre de la fête foraine qui occupait la place Leveneur.

Les visiteurs du matin ont fait place aux flâneurs de l’après-midi, dans la sérénité ou la torpeur selon qu’on apprécie ou subit la chaleur.

Grande parade espagnole

A la fraîche, le soir, des amateurs de bal musette ont envahi le parquet installé au champ de foire en attendant le feu d’artifice lequel a le mérite de rassembler, dans une même fascinatio­n, toutes les génération­s.

Dimanche 28 août, la grande parade, sur le thème de l’Espagne, avec des chars magnifique­ment décorés et des chorégraph­ies magistrale­ment exécutées, parcourait le bourg au son du paso-doble, de la zambra, de la jota ou du boléro. Une bonne brise fraîche s’était levée qui rendait agréables les chorégraph­ies. « Nous y travaillon­s depuis le mois d’avril, à raison de deux heures par semaine », confie une meneuse de revue.

Peu de public

Il n’y avait, hélas, guère plus de spectateur­s sur les trottoirs que d’acteurs sur la chaussée. « L’essentiel est que nous, nous sommes bien amusés », conclut un Carrougien.

Un autre ajoute : « Ce que nous avons réalisé, c’est beau, ça a de la gueule, nous pouvons être fiers ». Certes, mais un peu seuls tout de même…

 ??  ?? La plaza de toros de Carrouges, des chorégraph­ies hautes en couleur : les saveurs hispanique­s ont égayé la parade 2 016. Avec ou sans public, on s’amuse !
La plaza de toros de Carrouges, des chorégraph­ies hautes en couleur : les saveurs hispanique­s ont égayé la parade 2 016. Avec ou sans public, on s’amuse !

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