Florence et Dominique ont repris la boulangerie-pâtisserie
Les successeurs de Stéphane Goehring sont arrivés. Ils ont rouvert la boulangerie-pâtisserie « Au fournil de Passais » ce jeudi.
La boulangerie-pâtisserie « Au fournil de Passais » change de mains. Après six années d’activités, Stéphane Goehring vient de céder son fonds de commerce à un couple originaire des environs de SaintLô (Manche).
3e affaire
Florence, 44 ans et Dominique Lesauvage, 54 ans, sont des commerçants expérimentés. Ils ont déjà tenu deux boulangeries-pâtisseries, d’abord à Le Tourneur (Calvados) pendant 13 ans et ensuite à Cerisy-la-Forêt (Manche) pendant 10 ans.
Le couple a eu un véritable « coup de coeur pour la commune et pour les locaux qui sont propres, aux normes et bien équipés ». Arrivé en fin de semaine dernière, il a déjà fait la connaissance avec les habitants du Bocage de Passais.
Pains, viennoiseries, pâtisserie
Comme leur prédécesseur, Florence et Dominique proposent différents pains, les viennoiseries, de la pâtisserie dont leur spécialité la mousse aux 3 chocolats ou encore le ParisBrest… du chocolat maison à Pâques et à Noël, des petits fours sucrés et salés, des sandwiches (formules), pizza, fougasse… et bien d’autres gourmandises que les Passagéens auront à coeur de découvrir.
L’opération « bouchons d’amour » a été initiée l’an passé par Mélissa Martinel, animatrice à la communauté de communes. Avec les élèves de différentes classes du RPI (Regroupement pédagogique intercommunal) de Passais et de Ceaucé, les enfants avaient alors confectionné des containers pour recevoir la récolte de bouchons plastiques. Ces bidons décorés ont été placés dans les communes de la communauté.
Vendredi 27 janvier a eu lieu la première récolte. Des bénévoles de l’association Handi’chiens sont venus d’Alençon pour récupérer les 300 kg de bouchons déjà récoltés. Ils devront tout d’abord être triés (pas de bouchons métal, pas de particules carton) avant de rejoindre un immense silo multicolore.
En collaboration avec l’association, les bouchons récoltés sur le territoire permettront de financer l’éducation d’un chien d’assistance pour un coût de 13 000 €. Pour cela, 32 000 000 de bouchons sont nécessaires. Un premier pallié est atteint, il faut donc maintenir l’effort et toujours et encore collecter ces précieux bouchons dans les bidons prévus à cet effet près des centres de tri.