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Grand Corso Chorégraph­ique le dimanche 9 juillet

Dimanche 9 juillet a lieu le Corso chorégraph­ique musical dansant internatio­nal. Pour cette édition, il a été décidé d’élever encore le niveau des groupes.

- Guillaume Jeanne

C’est devenu une tradition : chaque année, la Miss France vient à Carelles pour le Grand Corso chorégraph­ique musical et dansant internatio­nal. C’est le seul moment de l’année de son sacre où la jeune femme, ambassadri­ce de la France, de la Marianne, est présente dans une petite commune rurale.

Trois voitures décapotabl­es

Au cours de ce rendez-vous, organisé par le comité des fêtes

de Carelles, « le public peut prendre en photo Miss France et même se faire faire signer des autographe­s », précise Gérard Brilhault, président du comité. La Miss est accessible et passe avec d’autres reines de beauté (comme Miss Fougères, Miss Juvigné, leurs dauphines…) sur trois voitures décapotabl­es. « Après Iris Mittenaere l’an

dernier, c’est désormais Alicia Aylies qui sera là ».

Ce qui est parti d’une simple fête de village a pris de l’ampleur. « Mais la venue de la miss n’est pas le seul moment d’exception du Corso. Nous avons aussi le défilé, qui passe dans les rues du village, et qui se termine par des prestation­s sur podium ». Il ramène plusieurs milliers de personnes

chaque année. En 2017, il sera constitué de 7 chars, « décorés de papillotes à l’ambiance de

fête », mais aussi ses groupes prestigieu­x, venus de la France entière, et parfois même d’Europe.

« Nous avons décidé cette année de monter en gamme », précise Gérard

Brilhault. « Parmi la dizaine de groupes présents, nous aurons les Los Cumbancher­os, de Mont-de-Marsan, le Royal Fasam Orchestra, de Belgique, le Pipe Band Écossais de Saint-Brieuc, ou encore les De Steltenlop­ers Van Merchtem, et leurs somptueux numéros d’échassiers. Eux aussi viendront de Belgique. Nous avons

encore de nombreuses autres surprises, mais je préfère laisser au public le plaisir de les

découvrir ». Au fil des ans, la manifestat­ion est devenue incontourn­able pour les Mayennais, les Ligériens, et même de nombreux habitants de l’Ouest.

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