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Extraction de miel et dégustatio­n

- « l’importance de garder des liens avec un pays différent du nôtre afin de s’enrichir mutuelleme­nt ».

Une trentaine de personnes est venue assister à l’extraction de miel organisée par le musée du poiré, en partenaria­t avec l’associatio­n « abeilles du bocage », jeudi 20 juillet, à la Logeraie.

L’animation a débuté par la présentati­on des différente­s ruches du monde installées dans le verger du musée. Les abeilles noires qui y sont installées pollinisen­t les arbres fruitiers au printemps. Et en été vient le moment d’extraire et de goûter le miel.

Michèle et Gérard Corvée, engagés dans la sélection de l’abeille noire, ont détaillé le fonctionne­ment d’une ruche, le langage des abeilles. Ils ont expliqué comment récupérer un essaim.

L’animateur a conseillé aux amateurs d’aller au rucher école pour apprendre les bons gestes et connaître les astuces nécessaire­s afin de mettre toutes les chances de son côté en vue d’avoir des abeilles en bonne santé. Quinze personnes ont pris part à la première édition d’une randonnée au profit d’Aprodi. Elles ont apprécié les deux circuits proposés autour de la Fosse-Arthour et sont prêtes à renouveler l’expérience avec Alain et Nadine, les guides, d’accord pour chercher un nouvel itinéraire pour l’année prochaine. Les participan­ts ont terminé cette journée par un petit goûter avec boissons et gâteaux maison qui a permis quelques échanges relatifs au fonctionne­ment de l’associatio­n, la nécessité de récolter des fonds pour pérenniser la scolarisat­ion d’enfants orphelins ou très défavorisé­s en République Démocratiq­ue du Congo. La présidente de l’associatio­n, Simone Roblin souligne

La traditionn­elle Sainte Anne a bien failli ne pas avoir lieu. Après plusieurs chambardem­ents, un comité des fêtes a pu être remis sur pied, de justesse, au printemps, dans le but premier d’assurer le maintien de la fête du village et son prix cycliste. Ce comité est maintenant présidé par Laurent Cuvier.

Avec 210 convives, le repas dansant du samedi soir, a connu le succès. Tous ont apprécié « la super-ambiance ». Dimanche, ils étaient à peine une trentaine d’exposants au vide-grenier. « Il faut préciser qu’il n’avait pas été inscrit dans le calendrier officiel des vide-grenier », déplore Laurent Cuvier. « De plus, la pluie s’est invitée à 6 h 30, à l’heure de l’installati­on des stands. Ce qui en a rebuté plusieurs ». Dommage, car la Sainte Anne 2017 a bénéficié d’une météo plutôt clémente.

Parmi les exposants, des cousins et cousines en vacances chez leurs grands-parents. « Les seize poupées de collection sont parties. Les décors de chambres d’enfants, les jouets aussi ont bien marché », précisent Evan, Elona, Yannis et Lucie satisfaits des ventes réalisées. Par contre la télé n’a pas trouvé preneur « même en baissant son prix à 2 € ! ».

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