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Après 10 ans, les travaux du bourg sont terminés

Samedi 14 octobre, en compagnie des élus de la Mayenne, avait lieu à Saint-Fraimbault-de-Prières l’inaugurati­on des travaux du centre bourg qui auront duré 10 ans.

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La réhabilita­tion a débuté il y a dix ans avec le ravalement des façades de l’église. Les travaux se sont échelonnés jusqu’à cette année. En 2013, la traversée du bourg pour l’aménagemen­t du centre bourg.

En 2016, c’est l’aménagemen­t du centre bourg, suivi en 2017, par la réhabilita­tion d’un logement communal. Cette habitation a été occupée par une famille avec deux enfants et un 3e à venir, ce qui ravit le personnel enseignant de l’école Henri Dès.

Le coût total des travaux s’élève à 700 000 € dont il faut déduire les 487 679 € de subvention­s. Le reste a été effectué via un autofinanc­ement de 405 458 €.

Le résultat est là avec un bourg aéré. La suppressio­n du mur qui bordait l’église a clarifié le site. Par ailleurs, la chaussée en béton de 20 cm d’épaisseur a été érodée par des machines pour lui donner un certain cachet.

Esthétisme

S’il n’y a plus de place de parking près de la mairie, l’esthétisme s’est grandement amélioré. De plus, les automobili­stes ont changé leurs habitudes. Un parking à proximité pallie ce manque. « Nous avions commencé à y réfléchir il y a 30 ans, mais les travaux ont commencé en 2010 », précise le maire Hubert Moll. Aujourd’hui, ce petit bourg labélisé Village fleuri, avec sa place et ses commerces mérite le détour.

La suite de la visite s’est déroulée à La Ferme Le Bois où une maison, appartenan­t à la congrégati­on des Soeurs de la Charité de Saint-Vincent-de-Paul, a également été rénovée. « Ce logement étant habité, il a fallu reloger les occupants durant 6 mois ». Grâce à Mayenne communauté qui a trouvé une solution, tout a pu être fait dans le confort et la rapidité. Tout a été refait du sol au plafond. En ce qui concerne le niveau de consommati­on énergétiqu­e, il est passé d’une étiquette G à B. « Le coût des travaux s’est élevé à 77 000 € dont 50 000 € à la charge des propriétai­res. L’ANAH, l’Agence nationale d’améliorati­on de l’habitat, a oeuvré et fait en sorte que tout soit possible avec les partenaire­s qui ont joué le jeu ».

Un bourg aéré

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