40 ans de soutien à de belles actions sociales

40 ans d’actions sociales, ça se fête et c’est Antoine Santos, l’actuel président (la présidence change tous les ans) qui s’est vu confier le privilège d’en assurer la gestion.

Servir les enfants

Il a été décidé de marquer cette date anniversaire en tablant sur trois invités qui symbolisent l’étendue de la générosité de l’association et son efficacité à apporter un soutien financier parfois décisif. Rappelons que le Salon du Chocolat (le prochain aura lieu les 18 et 19 novembre 2018) et le concert lyrique de Gontaud génèrent les principales recettes reversées aux associations locales ayant trait à l’enfance, la devise du Kiwanis étant «servir les enfants du monde ». Le Kiwanis est par ailleurs investi dans des actions nationales et internationales, le club services étant connu pour sa lutte contre le tétanos prénatal.

Gendarmerie.

L’adjudant-chef Luc Le Cadre a présenté la brigade de contact, de prévention et de recrutement de la gendarmerie. Une cellule inédite, une première en France. Son but, lutter contre les addictions des jeunes (alcool, drogue, vidéo-internet). La force de cette brigade: l’écoute, la présence sur le terrain avec des jeunes qui parlent aux jeunes (7 jeunes en service civiques composent cette unité). «Le Kiwanis nous a donné les moyens d’être plus efficaces dans le matériel déployé» déclare Luc Le Cadre.

C’est la l’association chère à Patrrick Joret qui lutte contre la dystonie, maladie orpheline voisine de Parkinson. Patrick en était atteint, son fils Clément aussi. Le Kwanis est venu en aide à l’Etoile d’Argent pour le travail de recherche de l’unité spécialisée du CHU de Montpellier. Quel rapport avec l’enfance? Clément, le fils de Patrick, a été opéré et porte un stimulateur qui lui évitera ces mouvements incontrôlables. D’autres maintenant pourraient bénéficier de ces interventions, mais le CHU manque de moyens. D’où l’action de l’Etoile d’Argent.

L’association menée avec foi et passion

La Mouette.

par Annie Gourgue a reçu l’aide des Kiwanis à deux reprises, et aura permis la création des salles Mélanie: les enfants victimes de viols sont interrogés et filmés dans une salle où ils sont mis en confiance dans un cadre familier proche de ce que serait une chambre d’enfant.