Le Réveil (Le Réveil (Édition Bresle - Oise - Somme)
Retrouvailles de pré-rentrée et nouveautés
Un pot à Perrault : c’est la tradition à Neufchâtel, juste avant la rentrée scolaire. Le vendredi 1er septembre n’a pas fait exception pour les élus, enseignants, encadrants…
Le traditionnel pot d’accueil de la rentrée des écoles Charles Perrault et Claude Monet à Neufchâtel-en-bray (Seine-maritime), s’est déroulé vendredi 1er septembre sous le regard de Xavier Lefrançois, maire, Nathalie Duvivier, adjointe chargée de l’enfance et la scolarité, et les membres de la commission scolaire et Sandrine Didier, nouvelle inspectrice de l’education nationale sur la circonscription de Neufchâtel. Son bureau devrait déménager de la route de Londinières à la route de Foucarmont, à côté du CIO (Centre d’information et d’orientation). L’accord est soumis à l’autorisation de sa hiérarchie.
Elle succède à Sophie Beaumont, partie au Canada, où elle est désormais responsable pédagogique à l’agence pour l’enseignement français à l’étranger.
Enseignants et équipes encadrantes des deux écoles mais aussi policier municipal, responsable des services techniques de la Ville… étaient présents en nombre pour ce moment qui s’est achevé autour d’un apéro dans la cantine de l’école Perrault.
Le maire a rappelé les grands événements de cette rentrée 2017 : installation de vidéoprojecteur dans chaque classe de l’école Monet, la suppression de la semaine de 4 jours 1/2, des travaux de peinture et l’installation d’un visiophone à l’école Perrault. « En ce qui concerne la sécurité, la police municipale veillera notamment au stationnement des véhicules. Cela va peut-être évoluer. On réfléchit à prendre une personne de nos services pour assurer la sécurité lorsque les écoliers traversent rue Saintvincent ».
Autre nouveauté : l’installation d’un Service d’éducation spéciale et de soins à domicile à Neufchâtel. Sa mission est de conseiller les familles et d’offrir un accompagnement pour favoriser l’intégration scolaire.
Autre bouleversement : l’absence de cours de natation pendant deux ans, le temps de construire le centre aquatique. « Il va falloir patienter », a précisé Xavier Lefrançois.