Halte aux dégradations
« C’est la nouvelle mode, aujourd’hui : on casse des vitres avec des pierres. C’est le fait de très jeunes, révèle le maire. Il y avait la casse sur les poteaux indicateurs, mais ça, c’est une nouveauté. » La casse sur le mobilier urbain représente de 10.000 à 20.000€ par an.
D’autres dégradations coûtent cher à la ville : le non-respect des installations sportives, notamment des vestiaires. Pour y faire face, la ville a choisi de faire payer les clubs utilisateurs en cas de détérioration, « quitte à retenir les frais sur les subventions » , précise le maire.