Le chapiteau des Saltimbanques est installé
Ça y est, le chapiteau des Saltimbanques de l’impossible a pris place dans le parc paysager de Neuville. Dès la rentrée de septembre, des ateliers cirque y seront proposés.
La tension, l’excitation et l’émotion étaient palpables. Toute la semaine passée, la troupe des Saltimbanques de l’impossible a travaillé d’arrachepied à l’installation de son chapiteau. Les artistes de cirque, qui jusqu’à présent avaient élu domicile à Martin-Eglise, ont en effet un nouveau terrain de jeu dans le parc paysager de Neuville-lès-Dieppe.
Près d’une semaine a donc été nécessaire pour voir s’ériger cette nouvelle piste aux étoiles. Mais si le chapiteau trône désormais fièrement dans le parc, pas question pour le moment d’ac- cueillir le public. De nombreuses étapes attendent encore Les Saltimbanques de l’impossible avant son ouverture officielle.
Homologation et commission de sécurité
Au- delà des travaux de finition et de nettoyage, « un électricien doit encore nous installer les sorties de secours
et une alarme » souligne Laure Portokalopoulos, animatrice des Saltimbanques. Puis viendra le temps des vérifications : celle de l’électricité par un organisme spécial pour s’assurer qu’elle est bien aux normes ; passeront ensuite le service d’homologation du chapiteau puis enfin la commission de sécurité.
Si Les Saltimbanques de l’impossible pourraient assurer quelques animations durant la saison estivale, c’est en septembre que son activité reprendra réellement avec des cours de cirque programmés du mardi au vendredi avec des ateliers différents tous les jours. Equilibre sur objets, monocycle, trapèze, tissu aérien ou jonglerie… les initiations seront multiples pour un public accueilli dès l’âge de 4 ans.
L’an passé, plus de 70 personnes se sont essayées à l’activité cirque, encadrées par quatre animateurs. La nouvelle saison qui s’annonce est attendue avec impatience par Laure Portokalopoulos et son frère David, tous deux à l’origine de la création des Saltimbanques de l’impossible : « Nous sommes comme des enfants qui ont hâte de découvrir leur nouveau terrain de jeu » sourit Laure Portokalopoulos.