Les Informations Dieppoises

Les réponses de l’élu régional Thierry Dulière

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Les lycées relevant de la compétence des régions, le Dieppois Thierry Dulière, élu de la majorité régionale (LR), se fait porteparol­e de la collectivi­té pour répondre aux interrogat­ions de la communauté éducative. Lycée Ango. « Le problème de fuites semble dû à une malfaçon du clocheton [à Ango, on l’appelle « la coupole »], une coquetteri­e qui nous coûte cher ! Pour résoudre définitive­ment le problème, trois à quatre années de travaux seront nécessaire­s. Ils seront commandés prochainem­ent. À propos des soucis informatiq­ues, je ne suis pas ravi de la méthode employée par les enseignant­s qui ont privilégié l’agitation à la collaborat­ion : ils manifesten­t alors qu’ils n’ont même pas évoqué le sujet lors du conseil d’administra­tion du 25 septembre, auquel j’étais présent. Mais pour leur répondre, nous nous sommes concertés avec Orange afin que l’établissem­ent soit desservi par la fibre d’ici fin 2017. Il restera à effectuer le câblage à l’intérieur des bâtiments, mais ces travaux ne sont a priori possibles qu’au cours des vacances d’été, quand les élèves sont absents. En attendant, nous allons fournir et faire installer les bornes wifi dont l’établissem­ent a besoin. Quant au personnel, je n’ai pas eu vent de problèmes occasionné­s par un éventuel sous-effectif, mais il est vrai qu’il est difficile de jongler entre tous les arrêts maladie. » Lycée Neruda. « Nous nous réjouisson­s que ce lycée ait repris du poil de la bête après la période noire qu’il a traversée, bien que nous héritions d’une situation compliquée. Nous avons conscience que sa restaurati­on et sa restructur­ation doivent être poursuivie­s. L’internat est en train d’être refait et le bâtiment principal doit être traité. Nos services travaillen­t mais je n’ai pas plus d’informatio­ns pour le moment. » Lycée Rostand. « L’état de cet établissem­ent est lié à son historique… Les deux précédents proviseurs l’avaient laissé à l’abandon. La Région joue son rôle mais n’entre pas dans le détail : il revient au chef d’établissem­ent de dire au personnel ce qu’il faut faire. Par ailleurs, je ne connais pas le calendrier d’interventi­on mais les travaux vont être réalisés. »

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