L’heure de la retraite a sonné pour trois salariées
Cette fin d’année est marquée par trois départs à la retraite à la fondation Albert-Jean de Luneray. Les trois salariées en question étaient là depuis très très longtemps.
L’année s’achève par l’officialisation de trois départs à la retraite au sein de l’Epifaj, l’Établissement public intercommunal de la fondation Albert-Jean à Bacqueville- en- Caux. Trois départs qui ont été marqués par une cérémonie de sympathie organisée dans l’ancienne chapelle, vendredi 8 décembre, en présence de Jean-Pierre Hibon, le directeur, et d’Etienne Delarue, président du conseil d’administration et maire.
« Nous perdons trois éléments forts de notre établissement ! » , souligne Jean-Pierre Hibon avant de retracer la carrière de chacune. Les trois retraitées ont en commun d’avoir occupé des postes et des missions différentes au fil de leur carrière à l’Epifaj, démontrant beaucoup de conscience professionnelle et une adaptabilité exemplaire.
Trois belles et longues carrières
Maryline Fournier a débuté dans le milieu médico- social comme éducatrice en 1981, d’abord à Bois-Himont, puis à Yvetot et au Havre avant d’intégrer l’Epifaj en 1993 comme monitrice éducatrice. Elle est devenue agent des services hos- pitaliers un an après et a terminé sa carrière comme veilleuse de nuit.
Frédérique Blondel a intégré la fondation Albert-Jean comme agent de bureau en 1971. Elle a été en charge des relations avec les familles à partir de 1977, puis gérante de tutelle suppléante dès 1997. Elle a travaillé dans un premier temps au foyer de vie à Sainte-Marguerite-sur-Mer avant d’intégrer l’atelier de jour à Bacqueville-en-Caux où elle a bouclé sa carrière professionnelle.
Plus de 41 ans d’ancienneté
Claudine Corruble a été recrutée comme sténodactylo en mai 1976. Elle a occupé plusieurs postes, dont celui de régisseuse, pour terminer au grade d’adjoint des cadres de classe exceptionnelle.
Les jeunes retraitées, le personnel et les élus de la fondation Albert-Jean se sont ensuite retrouvés autour du verre de l’amitié.