Katherine Pancol divise…
La plupart de mes choix de lecture proviennent de votre magazine. Ma confiance est totale quant à votre probité. Toutefois, désormais je m’interroge. La revue d’octobre consacre trois pages entières à Katherine Pancol. Pour ma part, l’ensemble de ses livres s’apparente à des « romans de gare ». Bref, des auteurs de talent mériteraient d’être mis en lumière. Prenez soin à ne pas glisser vers le « marchandage indigne », vous pourriez y perdre votre âme. Catherine Ruelland
Un grand merci à Lire pour « L’univers d’un écrivain » consacré à Katherine Pancol. J’aime beaucoup ses livres et je crois que je suis loin d’être la seule… Il ne s’agit peut-être pas de grande littérature, mais ses romans donnent du plaisir à de nombreux lecteurs. Et on a besoin d’histoires comme La Valse lente des tortues et Les écureuils de Central Park sont tristes le lundi ! Anne-Marie Perez
La réponse de Lire. Notre magazine se doit d’être ouvert à toutes les littératures – qu’importe si elles sont considérées « grand public » ou jugées « élitistes ». Qu’on aime ou pas Katherine Pancol, elle reste l’une des romancières françaises contemporaines les plus populaires. Dans son registre, Trois baisers a plu à la rédaction et on ne peut nier le talent de conteuse de l’auteure et sa maîtrise de l’agencement d’une vaste galerie de personnages. Cela ne nous empêche pas d’avoir mis en avant des plumes plus exigeantes comme celles de Jean-Philippe Toussaint, d’Anne F. Garréta, de J.-M. G. Le Clézio ou de Peter Handke.