Ruzica
C’est le nom de la tempête qui a balayé en début de semaine, la Belgique mais aussi la Suisse. Ponctuée de vents de plus de 130 km/h, elle a provoqué de nombreux dégâts et fait quelques blessés. En Europe, c’est l’Institut de Météorologie de l’Université libre de Berlin qui est chargé de baptiser dépressions et anticyclones, en piochant dans une liste préétablie de patronymes féminins et masculins. Le choix de ces sobriquets, toujours courts, vise à favoriser la communication entre pays sur des événements météorologiques de grande ampleur et à faciliter l’échange d’informations entre les scientifiques internationaux, les médias et le public.