REPRISE DE VOLÉE
L’ancien président trouve des circonstances atténuantes à Karim Benzema, qui a expliqué sa non-sélection par « la pression d’une partie raciste de la France ». « Quand on est déçu, on peut dire des choses qui dépassent sa pensée, estime Sarkozy qui n’a pas manqué d’incriminer l’Elysée. C’est le résultat d’un communautarisme militant, encouragé par ce gouvernement depuis quatre ans. » Lui aussi ne pense qu’à 2017.