LA GRANDE BALEINE PAR VINCENT DE OLIVEIRA
Autrement, 260 p., 17,50 euros.
Il y a une trentaine d’années, après une canicule exceptionnelle, le ciel s’est obscurci de nuages toxiques et la neige s’est mise à tomber sans discontinuer. La faune a presque totalement disparu, le sol gelé est devenu stérile et seuls quelques groupes d’humains ont réussi à subsister, mais en sombrant dans la barbarie. Dans cette dystopie à la « Mad Max », Vincent de Oliveira retrace le périple de deux idéalistes prêts à tout pour apercevoir une dernière fois un bout de ciel bleu ou une grande baleine, vestiges du « monde d’avant », le nôtre, sur lequel plane déjà la menace d’un cataclysme climatique.