L'Écho de l'Armor et de l'Argoat

Toujours autant de monde au pardon

-

Malgré un temps catastroph­ique samedi, le pardon de Bodfo a connu une belle affluence dimanche.

La fête du pardon était pourtant mal engagée samedi en début d’après-midi pour le concours de boules en doublettes. De nombreuses averses ont émaillé l’après-midi ce qui n’a pas empêché 31 équipes de disputer, parfois sous des trompes, d’eau ce premier concours de boules.

Aux petits soins des visiteurs

Les organisate­urs toujours soucieux du bien-être des visiteurs avaient étendu une quantité de sable ou de copeaux pour rendre les lieux accessible­s. Précaution utile le parquet des danseurs du fest deiz, normalemen­t à l’air libre, avait été installé sous de grands arceaux couverts de bâches. En soirée, la météo un peu plus calme a permis d’enregistre­r un agréable succès avec 350 convives au repas. Par contre si le tantad a bien été maintenu, le feu d’artifice musical a dû être annulé.

Toujours disponible

Dimanche a été une journée des plus agréables. La messe, le matin, fut célébrée dans la salle. Le midi encore beaucoup de monde au repas et c’est un véritable coup de feu dans les cuisines pour satisfaire tout le monde. Le succès de ce pardon de Bodfo ne serait pas ce qu’il est sans la constance de la myriade de bénévoles avec à leur tête Jean-jacques Le Bloas, un président toujours présent et disponible.

En début d’après-midi, des petites mains bénévoles étaient encore à évacuer l’eau tombée la veille sur les allées de boules ce qui a permis aux 53 doublettes de s’affronter jusque jusqu’en début de soirée, dans de meilleures conditions de jeux que samedi. Bodfo c’est aussi un vide-greniers qui cette année n’a pas eu le succès escompté avec seulement une quinzaine d’emplacemen­ts réalisés. Les jeux bretons ont connu un certain succès avec une présence plus importante des plus jeunes. Les amateurs de pesées de bourriche ont été encore plus nombreux que l’an dernier, avec 129 participan­ts, et chose rare, trois personnes ont trouvé le juste poids et encore plus insolites, les trois résident à Coadout. Après un bref échange, ils décidèrent de se partager la bourriche.

Le pardon c’est aussi la traditionn­elle soirée crêpes du dimanche. Là encore, il fallait être patient et attendre sagement dans la file d’attente avant d’accéder à une table enfin libre. Un coup de feu pour la dizaine de crêpières de service et les serveuses. Lundi des bénévoles étaient de retour pour le rangement du site.

D’autres photos à voir sur notre site Internet.

 ??  ?? 21 h 00, un gros coup de feu et de chaud autour des biligs les crêpières.
21 h 00, un gros coup de feu et de chaud autour des biligs les crêpières.

Newspapers in French

Newspapers from France