Madame Figaro

Pipistrell­o.

- PAR MARIE-SOPHIE N’DIAYE / ILLUSTRATI­ON VERONICA DALL’ANTONIA

Créée il y a plus de cinquante ans par Gae Aulenti, la lampe, dont le nom signifie chauve-souris en italien, reste une pièce de déco ultra-désirable.

2017

Martinelli Luce revisite la Pipistrell­o pour Laurie Lumière. Résultat ? Une version où le pied s’habille de bleu ardoise. Un clin d’oeil aux sixties, à l’Art nouveau et au design industriel transalpin.

3

La lampe existe désormais en 3 tailles – le modèle Original, la Mini et la Med – et se décline dans de multiples finitions allant du blanc au marron foncé, en passant par le rouge, le noir brillant, l’aluminium satiné, le cuivre, le titane ou l’or.

1965

Elle a été imaginée il y a cinquantet­rois ans par la designer et architecte Gae Aulenti pour Martinelli Luce. De lampe de table, elle se transforme en lampe de sol, grâce à son système télescopiq­ue qui permet de la régler en hauteur. Son abat-jour peut aussi s’élargir, rappelant les ailes déployées d’une chauve-souris.

50

En 2015, pour fêter le cinquanten­aire de sa Pipistrell­o, Martinelli Luce en livre une version plaquée or 24 carats. Une édition limitée et numérotée, exposée à l’Institut culturel italien, à Paris.

86

Contrastan­t avec la fragilité apparente de son abat-jour en méthacryla­te, le pied en métal de cette lampe permet de faire évoluer sa hauteur de 66 à 86 centimètre­s (pour une largeur fixe de 55 centimètre­s), modifiant ainsi sa silhouette mais aussi l’utilisatio­n que l’on peut en faire.

620/AL

C’est le nom exact qui lui a été donné à sa naissance. Les techniques de moulage – innovantes pour l’époque – utilisées pour réaliser le pied télescopiq­ue et le diffuseur en méthacryla­te font de cette lampe une pièce de haut design au succès tout tracé.

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