CÉLIE PAUTHE LA PLUS DURASSIENNE
CURRICULUM VITAE
Assistante à la mise en scène de Ludovic Lagarde, Jacques Nichet et Stéphane Braunschweig, elle part travailler à Moscou avec Piotr Fomenko. Elle met en scène, en vrac : Heiner Müller, Thomas Bernhard, Marguerite Duras, Christine Angot. Depuis 2013, elle est directrice du Centre dramatique national Besançon Franche-Comté *.
POURQUOI LE THÉÂTRE ?
«D’abord par héritage : mon père, comédien et metteur en scène, a participé à l’aventure de la décentralisation théâtrale. Ensuite, parce que le théâtre est l’un des rares arts qui nous offre une expérience aussi intime que collective. »
L’ART DE LA MISE EN SCÈNE « Un art du dialogue avec l’auteur. Un art de la recherche dans les profondeurs. »
LA PLACE DE L’ACTEUR « Je crois qu’il y a une part de fascination… J’apprends toujours des acteurs. Trois actrices comptent particulièrement pour moi : Mélodie Richard, Valérie Dréville et Judith Morisseau. »
UN CHOC DE THÉÂTRE
« Déjeuner chez Wittgenstein, de Thomas Bernhard, mis en scène par Krystian Lupa. »
INSPIRATION
« Marguerite Duras. C’est infini… Les paysages, le rapport à l’absolu. »
LE MOT DU LEXIQUE
« Personnage. Un mot très à la mode quand j’ai débuté. La vie des personnages, cette frontière mince où l’acteur et le personnage se confondent pour un instant. »
ACTU
Mises en scène de Bérénice, de Racine, accompagnée de Césarée, court-métrage de Marguerite Duras, en tournée du 27 février au 23 mai ; et d’Un amour impossible, de Christine Angot, en tournée du 9 janvier au 23 mars.