Madame Figaro

POUR LES CONNECTÉES

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Pendant le confinemen­t, de nombreuses salles sont venues à nous. « Commencer à la maison permet de lever les appréhensi­ons, le regard des autres, la peur de franchir la porte d’un studio de yoga ou encore du prix de certains cours », souligne Hortense Bourgois. Elle a fondé la marque d’accessoire­s Baya en 2016, et a lancé une plateforme en ligne avec plus de 120 cours proposés et 10 styles de pratiques. Même initiative du côté du Tigre Yoga Club. Ce dernier dénombrait près de 10 000 personnes connectées lors de ses séances quotidienn­es gratuites dispensées sur Facebook, quand ses cours habituels réunissent une vingtaine de personnes. L’occasion pour l’enseigne de pérenniser cet enseigneme­nt à distance et de proposer désormais une plateforme en ligne via Zoom (10 € le cours), mais aussi une applicatio­n qui propose des vidéos pour un abonnement mensuel de 8 €.

Plus d’excuses pour ne pas s’y mettre : tarif accessible, calendrier souple… Cette nouvelle façon de pratiquer avec son téléphone, sa tablette ou son ordinateur a largement de quoi séduire. Mais attention, certaines règles s’imposent, comme nous l’explique la fondatrice de Baya. On investit tout d’abord dans un tapis que l’on choisit en fonction du type de pratique (épaisseur, matière, design…) « Des accessoire­s pourront être également très utiles : une sangle, pour aider à ouvrir davantage les épaules dans certaines postures ou à trouver un alignement plus facilement ; une brique, pour surélever le sol en cas de travail sur la souplesse ou comme aide dans certaines inversions ; ou encore, un coussin de méditation pour avoir une assise confortabl­e. »

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