TRIBU LA PAUSE SINON RIEN !
(1968), Philippe Noiret joue le rôle d’un homme qui décide de s’adonner à la paresse.
Volontairement, il renonce à tout. Au travail qui l’assomme, à l’éveil des gosses qui n’en finit pas, au câlin du soir, répétitif donc d’un ennui mortel. Pour vivre quoi ? Une vraie vie de vacances ! En pause non-stop. Lui, c’est Alexandre le bienheureux, divin Philippe Noiret dans le film qu’Yves Robert sort en 1968. Un demi-siècle plus tard, les vingtenaires s’en inspirent : en réponse à l’emballement de la compétition dans les grandes écoles, aux dysfonctionnements du management, à une horizontalité promise mais qui tarde à bousculer les hiérarchies, pour vivre heureux, ils décident de travailler… juste assez pour économiser, et satisfaire d’autres envies. Six mois en bateau, un an à vélo, sur une scène de théâtre, un chantier archéologique… Pour la joie, le fun, le souffle. « Pour faire de vieux os, faut y aller mollo, abuser de rien, pour aller loin, chantait Michel Simon (sur des paroles de Gainsbourg). Pas se casser le cul, savoir se fendre de quelques baisers tendres, sous un coin de ciel bleu. » À réécouter d’urgence.
BOOSTER SA RENTRÉE
POUR L’ÉCLAT, un shot de vitamine C : inspiré de la mésothérapie faciale, le Concentré Extemporané Revitalisant Anti-Fatigue de Lierac réanime l’éclat et la résistance des peaux à bout de souffle.
POUR LE TONUS, une cure de micro-algues : des superaliments hautement revitalisants, notamment la chlorelle et la spiruline. La marque Sana Gaïa propose un mélange tout prêt, pur et biologique à mélanger à un jus, un yaourt ou autre.
POUR L’HARMONIE, un massage du crâne : cette technique millénaire est remise au goût du jour par les instituts Lanqi. Le nouveau protocole stimule non seulement tous les points d’acupuncture du cuir chevelu mais aussi des bras et des avant-bras pour relancer l’énergie du corps entier.