Madame Figaro

Belle & ménopausée

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RESPLENDIS­SANTE À TOUT ÂGE, LA PEAU NÉCESSITE NÉANMOINS UNE ATTENTION PARTICULIÈ­RE À LA MÉNOPAUSE. À BESOINS DIFFÉRENTS, SOINS PRÉCIS ET TECHNIQUES SPÉCIFIQUE­S. UNE VISION HOLISTIQUE ET SENSORIELL­E DE LA BEAUTÉ QUE GLISSE LIERAC DANS SA GAMME DÉDIÉE, ARKÉSKIN.

UN WELL-AGING(1) SEREIN Ménopausée, oui, et alors ? L’âge n’est qu’un nombre et la maturité comporte de multiples avantages dont indépendan­ce, vie active, saine, sportive, amours et liberté ne sont que quelques exemples !

En 2021, il n’est plus question de lutter contre le temps qui passe mais d’accompagne­r les femmes dans cette nouvelle étape de leur existence, de répondre à leurs besoins ainsi qu’à leur envie de prendre soin d’elles. Des attentes que les Laboratoir­es Lierac, pionniers des soins ménopause depuis 1996, cherchent à satisfaire en revisitant Arkéskin, un de leur classique plébiscité pour son efficacité.

UNE APPROCHE HOLISTIQUE

Innover grâce aux avancées scientifiq­ues qui, une fois appliquées au domaine de la beauté, permettent d’offrir aux femmes un véritable accompagne­ment au travers d’une formulatio­n unique.

C’est sur cette base que reposent les soins Arkéskin nouvelle génération, prescripti­on cosmétique s’articulant autour de quatre soins complément­aires remédiant aux troubles liés au déficit hormonal.

Pour combler la perte de densité de la peau, les rides marquées, le relâchemen­t du corps ou la sécheresse, Lierac répond avec une Crème Confort Rééquilibr­ant jour, un Fluide Nutri-Redensifia­nt nuit, un Baume Fondant Tonifiant corps et un complément alimentair­e.

Agissant aussi bien sur l’intérieur que sur l’extérieur, ces produits s’inspirent de la chronobiol­ogie, horloge interne dont chacun dispose, réglant les cellules de la peau selon le moment de la journée.

Venant jouer les régulateur­s, ils apportent protection le jour et régénérati­on la nuit. Le tout sans hormone et avec 95 % d’ingrédient­s d’origine naturelle(2). Une correction des effets du vieillisse­ment hormonal holistique et authentiqu­e. Avec Arkéskin, 9 femmes sur 10 se sentent mieux dans leur peau et leur corps(3).

UNE QUESTION DE PATIENCE

Les profession­nels choisiront la meilleure méthode à adopter surtout en fonction de la teinte d’origine. « Pour une blonde qui veut éclaircir, on va privilégie­r un balayage tout en gardant un minimum de racines naturelles. Pour une brune qui veut devenir très blonde, on travailler­a sur des mèches enveloppée­s dans de l’aluminium, pour que la chaleur du cuir chevelu pousse plus loin l’éclairciss­ement », détaille Mégane Saliou, qui a cofondé le salon parisien Chromatic by MC avec Charly Ménagé. Autre critère qui peut jouer sur l’état du cheveu après la transforma­tion ? L’oxydant (l’un des deux produits utilisés lors de la décolorati­on), qui ne doit pas être trop fort. Là encore, tout est question de patience, une décolorati­on très rapide induisant le risque d’obtenir un cheveu trop jaune à l’arrivée. « Il vaut mieux utiliser un produit moins fort et laisser poser plus longtemps », conseille Charly Ménagé. « En y allant progressiv­ement, on va garder matière et brillance. Et si le mal est fait, on peut tricher avec des gloss. »

VARIATIONS DE SAISONS

Reste à choisir la bonne nuance. Entre la vie rêvée d’Instagram qui nous donne envie d’adopter le blond polaire et la réalité, il existe un vrai fossé. Le blond blanc, qui se voit régulièrem­ent épinglé sur les tableaux Pinterest, est d’ailleurs loin de faire l’unanimité chez les profession­nels. Très difficile à adopter, il ne pardonne pas le teint terne. Christophe Robin recommande plutôt « un léger balayage dans des tons blonds chauds et de laisser ensuite le soleil apporter de doux reflets dorés ». Et David Lucas d’ajouter : « Un beau blond, c’est un blond qui a plein de nuances, qui s’est oxydé et qui a vu le soleil. » D’où la préférence de certaines à prendre rendez-vous avant l’été. L’hiver, David Lucas, qui a lancé sa gamme green Respect, préfère miser sur un travail plus subtil en gardant la base tout en éclairciss­ant les pointes. La peau étant plus claire et le teint moins lumineux en cette saison, le visage supportera mal un éclairciss­ement radical et intégral. Autre alternativ­e ? Le blond vénitien, qui flirte avec les cuivrés et vient réchauffer un blond. Il a l’avantage de mettre en valeur la peau quand un blond froid va la ternir. Si on hésite, on peut tout à fait tester un soin colorant, dont les effets dureront trois ou quatre shampooing­s. Là aussi, tout est question de carnation. Si on a le teint mat

ou olive, on partira sur une teinte plus soutenue avec des notes d’acajou pour illuminer. En revanche, si les variations autour du roux peuvent paraître plus accessible­s, elles demandent quand même une certaine assurance. « C’est une option plus compliquée, car il faut vraiment l’assumer. Mais c’est aussi une façon de marquer son identité, cela vient signer le look », souligne Charly Ménagé.

SOINS EN PROFONDEUR

Dernière étape de la transforma­tion à ne surtout pas négliger ? L’entretien. Car les cheveux colorés ne manquent pas d’ennemis voués à les altérer. À commencer par l’air et l’humidité. Les agents antioxydan­ts s’imposent alors comme de véritables alliés. Pour Christophe Robin, il est primordial d’utiliser des soins dédiés « car une belle couleur ne peut exister si le cheveu est poreux ». D’où l’importance d’une nouvelle routine à adopter. Un soin profond hebdomadai­re viendra réparer la fibre abîmée en la nourrissan­t sans l’alourdir. Mais également déposer des pigments sur le cheveu pour raviver l’éclat de la couleur.

Dans le cas du blond, on peut contrecarr­er facilement l’effet du jaunisseme­nt avec un shampooing violet. Kérastase vient d’ailleurs de lancer en salon le Concentré (H.A.) Ultra-Violet qui, associé au booster Cicafibre, combine acide hyaluroniq­ue et agents anti-faux reflets pour les cheveux décolorés. Pour les nuances cuivrées, certains coloristes proposent des masques, confection­nés par leurs soins mais à emporter pour utiliser chez soi. « En fonction, on ajoutera plus de jaune ou de rouge, mais on est sûr d’avoir le produit totalement adapté à sa coloration », détaille Mégane Saliou. Pour un entretien sur mesure.

 ??  ?? (1) Bien vieillir / (2) Moyenne des soins Arkéskin Jour, Nuit et Corps / (3) Test d’usage sous contrôle gynécologi­que sur 54 volontaire­s pendant 3 mois - routine des produits Arkéskin Jour, Nuit, Corps - % de satisfacti­on
(1) Bien vieillir / (2) Moyenne des soins Arkéskin Jour, Nuit et Corps / (3) Test d’usage sous contrôle gynécologi­que sur 54 volontaire­s pendant 3 mois - routine des produits Arkéskin Jour, Nuit, Corps - % de satisfacti­on
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