Petits bobos? Je sors mon kit homéo!
Sans effets secondaires, efficace sur les symptômes, cette médecine dite douce soulage, soigne et agit aussi sur le terrain pour éviter aux petits malades de rechuter. Idéal pour les nourrissons.
Coliques, régurgitations, eczémas, gastros, érythèmes fessiers, douleurs dentaires… Rien de bien grave, certes. Mais quelle galère pour les bébés… et leurs parents, qui ne trouvent pas toujours de réponses satisfaisantes du côté de la médecine classique. Alors comment soulager ces petits troubles ? En optant pour l’homéopathie ! Sans aucun effet indésirable, cette médecine est utile à double titre : efficace contre les symptômes, elle agit aussi en prévention. Toujours en s’intéressant à l’individu dans son ensemble, à son tempérament, à ses prédispositions à certaines maladies, à son appétit… Autant d’informations qui aident le médecin homéopathe à définir le «terrain » du patient et à concocter une ordonnance sur mesure. Ainsi, il ne prescrira pas forcément les mêmes granules à deux tout-petits souffrant de régurgitations. Si l’un régurgite parce qu’il engloutit trop vite son biberon, Antimonium crudum lui conviendra parfaitement. Si l’autre régurgite du lait caillé, Aethusa cynapium sera plus approprié. Par ailleurs, l’homéopathe prescrit souvent en complément un traitement de fond de plusieurs semaines. Objectif ? Stimuler le système immunitaire afin de l’aider à mieux se défendre et éviter les rechutes. On comprend pourquoi l’homéopathie est si largement utilisée chez les enfants. Avec le Dr Pierre Popowski, pédiatre et homéopathe, famili magic maman passe en revue les traitements les plus utilisés pour soigner les petits maux de nos bébés. Si votre tout-petit n’a jamais pris de granules, un conseil : consultez un homéopathe qui lui prescrira un traitement personnalisé et, éventuellement, des médicaments allopathiques. Car médecine classique et homéopathie ne s’opposent pas, elles se complètent. Cette affection de la peau touche de nombreux nourrissons. On l’explique essentiellement par un facteur héréditaire, d’où le nom de dermatite atopique donné à l’eczéma du nourrisson. Il se traduit par des éruptions cutanées sur les joues, l’abdomen, les bras et les jambes, qui débutent le plus souvent vers l’âge de 3 mois. Au-delà de 2 ans, les lésions se manifestent plutôt au niveau des plis des bras et des genoux. Elles démangent l’enfant, qui pleure et passe de très mauvaises nuits. Résultat, il se gratte, parfois jusqu’au sang, et des vésicules suintantes peuvent apparaître, laissant place à des croûtes. L’eczéma évolue par poussées, et on peut mettre des mois, voire des années, à s’en débarrasser ! Outre la prédisposition génétique, on constate que les enfants concernés ont une peau particulièrement fragile, sèche et moins résistante. Pour soigner l’eczéma, il est donc très important d’agir sur le terrain. Le risque si l’on se contente de traiter les symptômes ? Qu’il évolue en asthme. Pour soigner les symptômes
Sa peau est rouge, moite et elle le démange : l na 5 CH, 2 à 4 fois par jour. Belladon-