Les tampons lavés de tout soupçon
Le Centre national du staphylocoque des hospices civils de Lyon a analysé plus de
700 tampons usagés collectés. Conclusion : contrairement à ce dont ils étaient suspectés, aucun ne stimule la production de la toxine TSSTT-1, qui pourrait déclencher un choc toxique. Certains auraient même un effet protecteur lié à leur structure et composition. En revanche, les coupes menstruelles – permettant une arrivée d’air et, donc, d’oxygène plus importante au contact du sang des règles – favorisent davantage la croissance du staphylocoque et la production de la toxine.Tampons ou coupes, ne les portez pas la nuit, et pas plus de 4 à 6 heures d’affilée par jour.