ET BEN VINT À BLOIS
PAGE DE GAUCHE
1. À part ceux de Matisse à Vence et de Léger à Audincourt, Jan Dibbets n’aimait pas les vitraux. Jack Lang le fit changer d’avis en 1991.
2. Pour Ben, « créer c’est douter et douter
c’est créer » . La Fondation du Doute n’est pas vraiment un musée, mais elle raconte Fluxus, qui n’est pas vraiment un courant artistique non plus, et c’est passionnant.
3. Les mots de Ben courent sur les murs du café Le Fluxus, où l’on vient pour les tartines, les apéro-concerts et mille autres choses. 4. Sous ses airs tranquilles, la cathédrale Saint-Louis de Blois abrite trente-trois vitraux de Jan Dibbets.
CI- CONTRE
5. Dans l’escalier Denis Papin, les amoureux sur les bancs publics ont la tête dans les « nuages » de Geoffrey Hendricks, pilier Fluxus des années 70, dont l’exposition More
than 100 Skies est à voir jusqu’au 5 novembre.
6. À la Maison d’à Côté, à Montlivault, la terrine de brochet Curnonsky revisitée par le chef Christophe Hay.
7. Au restaurant Assa, à Blois, les « Expressions » poétiques et culinaires d’Anthony Maubert et sa femme Fumiko.