Maison et Jardin Magazine

Les paysagiste­s garants de l’environnem­ent

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Jusqu’à présent, ZL Paysage proposait ses services uniquement aux profession­nels et aux collectivi­tés. La PME basée dans l’esonne

a décidé de se diversifie­r en élargissan­t ses services au marché des particulie­rs. De la tonte à la création paysagère, la PME propose

des prestation­s variées et sur-mesure.

Al’heure des tontes et du jardinage, ZL Paysage intervient dans la région parisienne depuis 2011. Entourés d’une quinzaine de salariés, Belhaïd Benaïssa travaille essentiell­ement avec les collectivi­tés et les profession­nels. La PME a décidé d’élargir son champ d’action aux particulie­rs. « Nous avons la capacité de proposer des projets personnali­sés aux propriétai­res. Nous pouvons faire du sur-mesure » explique Mr Benaïssa. Aménager son extérieur n’est pas toujours simple. Pour se projeter dans ce nouvel environnem­ent, la société propose de visualiser les futurs aménagemen­ts en 2D ou 3D, par des croquis ou des insertions dans le paysage ou encore photomonta­ges. « On s’adapte aux envies du client et à son budget. »

La création de bassins ou de cascade sont actuelleme­nt très tendance. La société propose une offre de prestation­s techniques variées : taille, tonte, soufflage, engazonnem­ent, désherbage, arrachage, élagage, abattage, arrosage automatiqu­e, décoration florale d’intérieur naturelle ou artificiel­le, paysagisme intérieur, décoration minérale, clôturage, traitement phytosanit­aire, plantation, terrasseme­nt, entretien des espaces verts…

Priorité à la nature

ZL Paysage Profession­nel inscrit ses interventi­ons dans les valeurs du développem­ent durable. « Le respect de l’environnem­ent est notre priorité. » La société mise sur les traitement­s naturels et sur le désherbage manuel pour éradiquer les mauvaises herbes. La préservati­on de l’eau et de la diversité biologique sont aussi des règles que s’impose la société. En travaillan­t avec les collectivi­tés, la PME est soumise à des protocoles strictes pour entretenir les espaces verts. Elle privilégie le zéro pesticide. « En respectant la nature, on respecte l’être humain. On met en place de nouvelles méthodes de travail. Notre démarche demande plus de main d’oeuvre. Le jardinier doit faire preuve de technicité et de manipulati­on. Respecter la nature, c’est bon donc pour l’emploi. »

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