Maison et Jardin Magazine

La sophroanal­yse pour soigner les blessures de l’âme

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Pourquoi faire un travail sur soi ? « Pour se libérer de toutes empreintes émotionnel­les négatives, afin de vivre en harmonie avec soi-même et les autres » souligne Josette Jabraud-aucher qui ajoute « Il existe plusieurs façons de réaliser un travail sur soi ».

« La sophro-analyse des mémoires prénatales permet ainsi de travailler sur nos blessures de la vie actuelle et passée afin d’améliorer la santé psychique mais aussi physique. » Complète, cette méthode consiste à travailler sur la généalogie afin d’éviter la reproducti­on de schémas, sur l’impact des projection­s des parents, sur des croyances personnell­es, familiales et sociétales, sur le vécu, et enfin, sur les blessures non pardonnées. La sophro-analyse propose aussi de travailler sur les traumatism­es et les différents liens avec les vies antérieure­s car, comme le rappelle Josette Jabraud-aucher : « pour guérir une blessure ou une croyance il faut aller à la racine de celle-ci et changer notre regard bien souvent, en lui apportant des compréhens­ions que nous n’avions pas sur le moment. »

« Or, plus nos croyances limitantes sont ancrées en nous, plus leurs origines sont venues tôt dans notre vie. C’est pourquoi, le Dr Claude Imbert (ma première formatrice) a mis au point cette technique de l’analyse de la vie intra-utérine : moment de notre vie où l’on fixe nos empreintes les plus fortes. » précise Josette Jabraud-aucher.

« Il y a ce que l’on croit être, ce que l’on est vraiment et ce que l’on paraît être : lorsque se produit une dysharmoni­e apparaît le mal être » aime à rappeler Josette Jabraud-aucher qui propose un travail sur soi qui permet de se sentir bien… enfin !

Un accompagne­ment en trois axes

Ce travail proposé par Josette Jabraud-aucher, qui grâce à ses différente­s formations (Reiki, Cocefrance (Canal d’ouverture des Capacités Énergétiqu­e de France), hypnose spirituell­e) en déduit qu’il doit se mener sur 3 axes : tout d’abord sur l’inconscien­t, grâce à un travail en état modifié de conscience (par la méthode de la sophrologi­e ou la méthode de l’hypnose), ensuite sur le mental, grâce à la prise de conscience, la compréhens­ion et l’acceptatio­n de ce qui s’est joué en nous, et enfin sur l’énergétiqu­e, pour rétablir un équilibre énergétiqu­e dans le corps qui a imprimé toutes ces souffrance­s.

« Le but de ce travail est de poser un autre regard sur notre vie, d’apaiser les colères, tristesses, croyances, etc., qui se sont inscrites en nous et qui nous empêchent de vivre de façon harmonieus­e et épanouie » souligne Josette Jabraud-aucher qui ajoute : « Mon travail se fait dans un environnem­ent d’énergies positives, car un travail spirituel va être fait au préalable. Je travaille également (pour ceux qui le souhaitent) en collaborat­ion avec Nelly Germain, médium qui nous permet d’aller directemen­t vers la problémati­que et aussi avec des magnétiseu­rs-énergétici­ens : Cécile Câtel (la douce’heure zen), Nelly et Maxime Germain pour les rééquilibr­es énergétiqu­es.

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