ÉCOUTER LA NATURE

Au sommet de la montagne basque, découvrez le domaine Les Chalets d’iraty, un lieu dépaysant hors du temps où les éléments permettent de se ressourcer.

Et si vous tentiez l’aventure « déconnexion, immersion et partage » au coeur d’un lieu dépaysant, d’un site naturel unique. « Ici, nous proposons donc différents hébergements, mais aussi des activités, enfin des rencontres humaines pour valoriser toutes nos richesses culturelles et naturelles », raconte Josy Arrossagaray, la directrice du site. Ainsi, les vacanciers pourront s’immerger dans une montagne vivante et habitée dans L’ADN est le pastoralisme ou tout simplement s’imprégner de ce lieu magique plein d’énergies.

Au sommet de cette montagne basque, quasiment à cheval sur la frontière espagnole, le domaine des Chalets d’iraty propose de « vivre l’instant nature. Côté hébergement, nous comptons 35 chalets en bois pouvant accueillir de 2 à 12 personnes, deux chalets collectifs de 29 places, trois chambres hôtelières, un gîte et une annexe dédiés aux marcheurs du GR10, mais également un camping-car sur le plateau d’iraty et une aire naturelle de camping ouverte de juin à fin octobre ».

Un restaurant et une boutique vous permettront de découvrir les saveurs locales.

La magie des grands espaces

« Dans la magie des grands espaces, les Chalets d’iraty offrent une connexion à une montagne vivante où chacun est invité à vivre sa propre aventure ».

Ici, chacun découvre à son rythme un aspect différent de la nature. Chacun pourra écouter et vivre les quatre saisons. Les vacanciers se feront, en effet, remettre un livret avec l’ensemble des oiseaux de « notre belle montagne. Nous avons également fait le choix d’installer des mangeoires devant chaque hébergement et remettons des graines aux vacanciers ».

Ici, la connexion à la nature est totale. La déconnexion aussi d’ailleurs ! « Nous n’avons pas équipé les chalets de télévision ni de Wi-fi. Cependant, des jeux de société sont mis à disposition à l’accueil pour permettre un véritable retour aux sources, un retour à l’essentiel, tout simplement... »