Le vitrage chauffant
Pour les projets d’extension de surface, dans les pièces aux grandes baies vitrées, et dans les vérandas de mieux en mieux isolées, les vitrages chauffants trouvent naturellement leur place. Compatibles avec tous types de châssis de fenêtres et systèmes de façades, ils peuvent aussi devenir une cloison vitrée entre une chambre et une salle de bains. Et apporter le confort du chauffage rayonnant, en supprimant l’effet de parois froides. Exit aussi la condensation, donc l’humidité et l’apparition de moisissures pour une utilisation possible dans les salles de bains avec fenêtre. Le principe de ce vitrage chauffant : une couche de microparticules métalliques est déposée sur la surface interne du verre. Cette dernière, résistance chauffante à basse température – 20 °C à 45 °C sans aucun danger, même pour les enfants – rayonne vers l’intérieur de la pièce. S’il s’agit d’un verre à couche spécifique, la contre-face, elle, peut être en verre recuit, trempé ou feuilleté, retardateur d’effraction pour apporter d’autres fonctions à ce vitrage nouvelle génération. Cette technologie est totalement invisible : l’alimentation électrique et les câbles disparaissent à l’intérieur des profilés de la menuiserie. Côté bien-être et économies d’énergie, la maison peut réduire jusqu’à 30 % ses consommations énergétiques, grâce à une gestion intelligente du système : programmation, capteurs d’ouverture, détecteurs de présence... Reliés à un système domotique, il est possible de modifier à distance les paramètres de ces vitrages chauffants connectés. Ils sauront s’éteindre seuls lorsqu’une porte ou une fenêtre s’ouvrent de manière inopinée, envoyer un signal dès la rupture de la couche en cas de tentative d’effraction, avant même l’intrusion... Un vitrage qui, en plus d’être chauffant, brille par son intelligence l