3• la chaleur en option
Dans cet appartement grenoblois aux volumes totalement redistribués, l’entrée se fait par la cuisine, ouverte, d’une part, sur la salle à manger et, d’autre part, sur le salon, grâce à l’introduction d’une verrière et à l’ouverture des cloisons. Très lumineuse, disposée en L, la cuisine arbore des façades verticales gris-anthracite en Fenix-NTM, associées à un plan de travail en chêne massif d’une épaisseur de 4 cm, qui remonte en crédence sur 30 cm de hauteur. Matériau noble qui donne du cachet à la cuisine, le bois participe de l’atmosphère chaleureuse, renforcée par la présence d’un faux plafond peint en jaune. Il accentue les effets de symétrie. Parallèlement, le Fenix donne à la pièce une dimension contemporaine. Pour présenter les qualités de résistance nécessaires à son utilisation en cuisine, le chêne est lamellé-collé : il est constitué d’un assemblage par collage de différentes lamelles de bois massif. Il est préférable, par ailleurs, de choisir des essences dures, comme le chêne, l’érable, le wengé, le hêtre…
LES INCONVÉNIENTS. Sensible à la chaleur, à l’humidité et à l’abrasion de certains produits chimiques, il se patine en arborant de nombreuses traces.
L’ENTRETIEN. En cas de taches ou de marques, il peut être nettoyé, brossé, poncé et traité à nouveau. Verni ou huilé, il améliore sa résistance à l’humidité. Ainsi est-il recommandé de le passer à l’huile au moins une fois par mois.