COMME UN OISEAU....
Pour faire entrer une partie du dressing dans sa chambre en toute beauté, foncez en forêt, c’est tendance !
Une fois la branche idéale trouvée, et avant d’en faire votre objet de déco du moment, il faut la faire sécher à l’abri de l’humidité. Ensuite, poncez-la et, comme c’est un matériau vivant, il faut le traiter contre les insectes et l’humidité. Enfin, une petite couche de lasure incolore lui apportera une finition durable tout en conservant son aspect naturel. Il n’y a plus qu’à trouver de jolis crochets et deux morceaux de corde assez résistants pour la mettre en lévitation et supporter le poids des vêtements.
Souvent attenant à la chambre, le dressing désigne avant tout une pièce fermée par une porte qui contient des placards ouverts. Pour ceux qui ont la place nécessaire, il a de plus en plus la cote. À juste raison. C’est le must du rangement pour parcourir toute sa garde-robe en un clin d’oeil. Vêtements, paires de chaussures, bijoux, cravates : tout y est rangé... exactement à sa place. Sur mesure, évolutif, ou encore modulable pour aller aussi se nicher dans les combles aménagés, ce super placard se dote désormais de nombreux équipements. Outre, les rangepantalons dédiés, les range-cravates, les rangs de tiroirs écrins pour bijoux, il s’équipe aussi d’éclairage intégré, d’ouverture automatique par détection…
D’une pièce pour tous à l’armoire-penderie
Le dressing n’est pas que parental. Pourquoi ne pas l’envisager comme une pièce familiale, histoire de désencombrer les chambres de cet espace de stockage ? Ainsi convivial, ce lieu à partager devient un dressing-pressing home made. Un point de tri et dispatching où la personne qui repasse peut s’y installer en toute tranquillité. Pour les maisons moins riches en espace libre à détourner, la tendance est plutôt aux placards muraux ou armoires-penderies. Bonne nouvelle : un mètre de surface dédiée peut suffire, ce dernier contenant deux modules de 50 cm, un pour ranger, l’autre pour pendre. Pas envie de céder aux sacrosaints placards ? L’évolutivité et l’effet waouh de ce rangement s’obtiennent tout simplement en optant pour un système à base de crémaillères fixées sur le mur. Dernière option pour les espaces les plus restreints : choisir des armoires dressing compactes qui ont tout d’un grand dressing, dès 2 m2. En linéaire, elles entrent dans les petits espaces ou sur un seul mur. Dans un couloir, elles s’implantent en face à face. En angle, les armoires s’installent là où on les trouve rarement. Et en jouant sur les hauteurs, cette configuration, en associant un meuble bas, peut le transformer en une ingénieuse tête de lit. Du deux-en-un malin.
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Fini les cuisines fermées. Si cette configuration offre plus de rangements, puisqu’elle dispose de plus de murs, la tendance est à l’inclure dans l’espace de vie pour que la préparation du repas soit un moment de convivialité. Il faut donc coordonner ces espaces en pensant aussi les rangements et l’aménagement du coin-repas. Dès le départ, pour qu’une cuisine soit agréable, il faut une répartition équilibrée de différents points. Tout d’abord, la zone vaisselle qui comprend évier et lave-vaisselle. Ce dernier, placé du côté pièce à vivre dans les cuisines ouvertes, évite d’attribuer cette tache à une seule et même personne. Ensuite, la zone froide est constituée du réfrigérateur, du congélateur, et des aliments stockés. Sans surstocker. C’est le meilleur moyen pour attirer les mites alimentaires. Enfin, la zone chaude intègre tous les appareils électroménagers – cuisinière, four, four à micro-ondes – et les ustensiles utilisés au quotidien pour préparer les repas.
Libérer le plan de travail
Tout aussi central que la cuisine ellemême : le plan de travail pour la préparation des repas. Mieux vaut éviter de le surcharger, c’est plus pratique et plus joli. Du coup, on choisit des rangements malins à l’intérieur des tiroirs et des placards : les industriels proposent des solutions astucieuses. Les suspensions sont aussi une aide précieuse pour avoir ses ustensiles à portée de mains. Mais sans trop en abuser, au risque de reporter la sensation de fouillis du plan de travail sur les murs. Et même s’il porte haut les dernières tendances en matière de design, trop de petit électroménager étouffe aussi le plan de travail. On ne garde que ce qu’on utilise au quotidien, et le reste va au placard. Puisque la cuisine regorge de rangements, l’intérieur des portes est une surface à exploiter. Des barres de crédence ou quelques crochets judicieusement placés sauront accueillir les ustensiles de cuisine
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