Marie Claire

QUELLE EST VOTRE PEUR SECRÈTE ?

Additionne­z vos , , avec le tableau ci- contre ◼●▲ pour lire vos schémas inconscien­ts.

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Majorité de ◼ VOTRE PEUR SECRÈTE : L’EXCLUSION Rien ne vous effraie davantage que l’idée d’être tenue à l’écart, ou pire, rejetée. La solitude subie est sans doute votre pire cauchemar. Vous ne vous sentez en sécurité que lorsque vous êtes entourée et en lien. Que ce soit en famille, en couple ou au travail. C’est pourquoi vous êtes souvent celle qui entretient les relations avec autant de régularité que de générosité, mais également celle qui fait le premier pas pour en créer de nouvelles. Dans le domaine amoureux, ce comporteme­nt peut parfois provoquer le contraire de la sécurité que vous cherchez à obtenir, à savoir une prise de distance et parfois même la fuite d’un partenaire qui peut se sentir piégé par trop de sollicitat­ions et d’attentions. Comment vous affranchir : Sevrez-vous pendant quelque temps. Efforcez-vous d’être celle que l’on sollicite. Cela vous permettra de faire le tri dans vos relations. A être toujours celle qui donne, vous recevez de moins en moins et nourrissez des « parasites » affectifs. En opérant une mise en retrait, vous réaliserez que c’est la perspectiv­e de la solitude ou de l’exclusion qui vous effraie davantage que le fait de la vivre. Majorité de ● VOTRE PEUR SECRÈTE : LE MANQUE Vous dépensez beaucoup d’énergie à anticiper la perte ou le manque, dans le domaine matériel ou relationne­l. Ce qui signifie que vous passez beaucoup de temps à élaborer des scénarios catastroph­e, ce qui n’est pas la meilleure façon de profiter du moment présent et de la vie en général. Le bon côté des choses est que votre prudence et votre esprit de stratège vous évitent d’être prise à défaut. Votre côté fourmi vous assure un confort matériel qui renforce votre sentiment de sécurité intérieure, un temps au moins. Vous aimeriez prendre davantage la vie comme elle vient, sans pour autant vous transforme­r en cigale, cela vous angoissera­it trop, mais pour vous délester d’une partie de votre anxiété. Comment vous affranchir : Commencez par apprécier tout ce que vous possédez : vos capacités physiques et intellectu­elles, vos possession­s matérielle­s et enfin votre entourage affectif. Prendre conscience de votre patrimoine vous permettra de développer un sentiment de sécurité et de gratitude qui fera baisser votre anxiété et réduira la production de vos scénarios négatifs. Majorité de ▲ VOTRE PEUR SECRÈTE : LA TRAHISON Vous êtes la plupart du temps sur le qui-vive. Sensible, méfiante et anxieuse, vous vous attendez toujours à recevoir un mauvais coup du sort, petit ou grand. Comme si la vie, les autres pouvaient brusquemen­t vous décevoir, vous blesser ou vous trahir. Cette posture vous conduit à développer en permanence des mécanismes de défense comme anticiper la déception ou la trahison, traquer la faille dans une situation ou une relation. Le côté positif de votre méfiance est justement votre capacité à ne pas vous laisser manipuler et à anticiper de manière à rebondir rapidement en cas de difficulté ou d’échec. Comment vous affranchir : En prenant des risques. Mesurés et calculés, mais des risques. Autorisez-vous à vous dire une fois par jour « pourquoi pas ? » : accepter cette invitation, changer de programme, tester une autre façon de travailler… Vous constatere­z que la prise de risques raisonnabl­e libère votre créativité en même temps qu’elle fait baisser votre anxiété.

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