Marie Claire

ÉTUDIANTES à risque

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Les filles des « sororités », l’équivalent féminin des confréries masculines d’étudiants, ont quatre fois plus de risque de se faire violer que celles qui ne font pas partie de ces cercles huppés. En cause, l’alcool, mais aussi une pression qui les incite à fréquenter les fraternité­s de garçons, sous prétexte de développer leur carnet d’adresses. La face cachée des université­s américaine­s.

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