ÉTUDIANTES à risque
Les filles des « sororités », l’équivalent féminin des confréries masculines d’étudiants, ont quatre fois plus de risque de se faire violer que celles qui ne font pas partie de ces cercles huppés. En cause, l’alcool, mais aussi une pression qui les incite à fréquenter les fraternités de garçons, sous prétexte de développer leur carnet d’adresses. La face cachée des universités américaines.