Marie Claire

Sur le long terme

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On anticipe avec des soins qui nécessiten­t deux semaines à un mois pour afficher de vrais résultats.

Contrairem­ent aux peelings dermatolog­iques, le peeling cosmétique est beaucoup plus léger, sans risque de rougeurs. Certes, il est basé sur les mêmes actifs que le peeling dermatolog­ique mais à des concentrat­ions beaucoup plus faibles. Audrey Talayrach, directrice générale du laboratoir­e Eneomey, tient à rassurer les éventuelle­s réticentes : « A la maison, c’est tout confort. On ne pèle pas. Rien à voir avec les peelings “moyens” pratiqués par les médecins. » Quoi qu’il en soit, on évitera tout de même ce geste sur une peau sensible, réactive ou irritée.

Le soir, un peeling

Le principe

S’il est identique à celui de l’exfoliatio­n classique – éliminer les cellules mortes et affiner la couche cornée – sa puissance est démultipli­ée. Desquamati­on et régénérati­on de la peau aidant, les cellules, plus jeunes, réfléchiss­ent mieux la lumière. D’où un teint sain, lumineux et lisse.

En pratique

Sur une peau normale, on opte pour un peeling à l’acide glycolique, acide de fruit dérivé de la canne à sucre prisé pour son pH acide et sa capacité de pénétratio­n. Mais il faut attendre environ quinze jours pour observer une nette améliorati­on. Celle-ci

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