Marie Claire

le questionna­ire Valérie Bonneton

La comédienne incarne une jolie synthèse entre cinéma d’auteur et comédie populaire. Et, dans le nouveau film de Danny Boon*, déploie une fantaisie dont elle pare ici ses réponses à nos questions.

- Particuliè­rement dominante. Propos recueillis par Fabrice Gaignault

Aimez-vous votre visage ?

Il m’a rendu bien des services, oui je l’aime.

Etes-vous fille ou femme ?

Je suis femme, une fille j’en ai une !

Dormez-vous la nuit ? En général, oui.

Votre mère était-elle dominante ou soumise ? Combien de drogues vous faut-il pour vivre ? Une seule : l’amour.

Le plus beau regard que l’on ait posé sur vous ?

Mon grand-père. Il disait toujours : « Laissez-la faire. »

Citez trois amants et amantes rêvés au cours de votre vie ?

Johnny Weissmulle­r, Robert Hossein avec sa cicatrice (dans Angélique) et Marlon Brando.

Votre plus grand plaisir simple ?

Me réveiller le matin et me dire que je suis encore vivante.

Votre dernière recherche Google ? Quincaille­rie.com.

Le meilleur conseil que l’on vous ait donné ? Quand j’ai demandé, au lycée, à ma prof de théâtre si c’était une bonne idée que j’en fasse mon métier, elle m’a répondu : « Oh non pas toi ! » Je me suis dit que c’était bon signe, qu’il fallait que je me lance, j’ai toujours pensé qu’il fallait n’écouter que soi.

La dernière chose que vous avez bue et mangée ?

Croquettes de poulet et purée de carottes maison. Eau.

Le goût dont vous avez honte ? L’andouillet­te… j’adore.

Etes-vous violente ? Non, j’aime trop la paix. Pouvez-vous prendre une photo de vous ? Qu’est-ce que vous ne supportez pas que l’on dise de vous ?

Que mon jeu d’actrice est « sympa ».

Pouvez-vous sortir sans maquillage dans la rue ?

Je sors toujours légèrement maquillée. C’est très agréable et ça donne le moral.

Aimez-vous votre prénom ?

Non, je trouve qu’il est le comble de la banalité.

Fuir, s’adapter ou combattre ? Combattre.

La première fois où vous vous êtes sentie libre ? A l’internat.

La place du sexe dans votre vie ? Tout ou rien.

Si vous étiez une fée et que vous pouviez offrir trois dons à un enfant naissant, lesquels serait-ce ?

Un seul : l’intelligen­ce, parce qu’avec on peut devenir beau, altruiste, généreux…

(*) La ch’tite famille, déjà en salles.

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