le questionnaire Valérie Bonneton
La comédienne incarne une jolie synthèse entre cinéma d’auteur et comédie populaire. Et, dans le nouveau film de Danny Boon*, déploie une fantaisie dont elle pare ici ses réponses à nos questions.
Aimez-vous votre visage ?
Il m’a rendu bien des services, oui je l’aime.
Etes-vous fille ou femme ?
Je suis femme, une fille j’en ai une !
Dormez-vous la nuit ? En général, oui.
Votre mère était-elle dominante ou soumise ? Combien de drogues vous faut-il pour vivre ? Une seule : l’amour.
Le plus beau regard que l’on ait posé sur vous ?
Mon grand-père. Il disait toujours : « Laissez-la faire. »
Citez trois amants et amantes rêvés au cours de votre vie ?
Johnny Weissmuller, Robert Hossein avec sa cicatrice (dans Angélique) et Marlon Brando.
Votre plus grand plaisir simple ?
Me réveiller le matin et me dire que je suis encore vivante.
Votre dernière recherche Google ? Quincaillerie.com.
Le meilleur conseil que l’on vous ait donné ? Quand j’ai demandé, au lycée, à ma prof de théâtre si c’était une bonne idée que j’en fasse mon métier, elle m’a répondu : « Oh non pas toi ! » Je me suis dit que c’était bon signe, qu’il fallait que je me lance, j’ai toujours pensé qu’il fallait n’écouter que soi.
La dernière chose que vous avez bue et mangée ?
Croquettes de poulet et purée de carottes maison. Eau.
Le goût dont vous avez honte ? L’andouillette… j’adore.
Etes-vous violente ? Non, j’aime trop la paix. Pouvez-vous prendre une photo de vous ? Qu’est-ce que vous ne supportez pas que l’on dise de vous ?
Que mon jeu d’actrice est « sympa ».
Pouvez-vous sortir sans maquillage dans la rue ?
Je sors toujours légèrement maquillée. C’est très agréable et ça donne le moral.
Aimez-vous votre prénom ?
Non, je trouve qu’il est le comble de la banalité.
Fuir, s’adapter ou combattre ? Combattre.
La première fois où vous vous êtes sentie libre ? A l’internat.
La place du sexe dans votre vie ? Tout ou rien.
Si vous étiez une fée et que vous pouviez offrir trois dons à un enfant naissant, lesquels serait-ce ?
Un seul : l’intelligence, parce qu’avec on peut devenir beau, altruiste, généreux…
(*) La ch’tite famille, déjà en salles.