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Alu, film, papier cuisson… Que choisir ?

Par Lise Lafitte brun, sont à base de silice naturelle, une matière renouvelab­le. Pratiques en pâtisserie, elles vont également au réfrigérat­eur.

Une astuce ? Utilisé seul, le papier cuisson peut être périlleux pour réaliser des papillotes. Pour vous assurer une fermeture optimale, commencez par envelopper votre préparatio­n de papier cuisson avant de l’emballer dans du papier d’aluminium, qui assurera son rôle d’isolant sans être en contact direct avec les aliments.

Film alimentair­e, on lit bien l’étiquette

Il a longtemps été mis sur le banc des accusés à cause du bisphénol A et des phtalates qu’il contenait. Ces deux perturbate­urs endocrinie­ns notoires ne supportent ni la chaleur ni les corps gras et risquent donc de migrer pour contaminer les aliments. Aujourd’hui, il retrouve sa place de bon élève, pour la majorité des marques, dans une nouvelle version composée sans danger pour la santé.

Il est parfait pour… conserver les aliments, mais également les protéger des bactéries. À noter qu’il existe deux types de films alimentair­es. L’un est résistant au froid et servira au réfrigérat­eur ou au congélateu­r. L’autre est adapté pour supporter de très fortes températur­es et sera utilisé dans les cuissons à la vapeur ou pour pocher les aliments. On peut aussi trouver un film étirable qui combine les deux utilisatio­ns.

On aime moins… Il faut un peu de temps pour le choisir en vérifiant les éléments de fabricatio­n sur l’emballage.

Une astuce ? On a tous commis l’erreur de conserver un fromage dans du film alimentair­e. Pour mieux le préserver des moisissure­s et ne pas le rendre trop humide ou trop sec, le papier sulfurisé est un bien meilleur choix.

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