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Avez-vous trouvé un remède pour une cervicalgie ?

Grâce à la page « Solidarité », je fais appel aux personnes souffrant de cervicalgie, une douleur localisée au niveau du cou. Il ne s’agit pas de moi, mais d’une amie qui m’est précieuse. Depuis plusieurs années, ses souffrances entraînent de nombreux vertiges et des problèmes d’équilibre à l’origine de chutes. Elle n’ose plus sortir, son moral est au plus bas. Son médecin l’a soignée pour de l’arthrose, mais les médicaments n’ont aucun effet. Dans sa jeunesse, elle a fait une mauvaise chute en tombant en arrière, ce qui avait déclenché un terrible mal de cou. À l’époque, elle était suivie par une rebouteuse. Il se peut que les vertèbres appelées axis et atlas (situées au niveau de la nuque) aient souffert lors de son accident. J’ai lu que des praticiens pouvaient détecter et soigner ce genre de pathologie. Est-ce sans danger, sérieux, et comment s’adresser à la bonne personne ? Des questions sans réponses auxquelles vous apporterez la solution tant espérée. Merci à vous toutes ! Raymonde, réf. : 19JUIN2017/01 Écrivez-nous Courrier des lectrices, 7, rue Watt, 75013 Paris ou courrier@bauermedia.fr.

La nuit, mes jambes me brûlent à l’intérieur

Chères amies lectrices de Maxi, je connaissais Sainte Rita pour traiter les causes perdues, mais, là, rien n’y fait ! C’est donc dans un désespoir total que je m’adresse à vous. Depuis bientôt deux ans, je souffre d’un mal que l’on n’arrive pas à traiter. Cela se produit surtout la nuit où j’ai la sensation que mes jambes me brûlent à l’intérieur, alors que la peau reste froide. C’est épouvantable ! Impossible de trouver une bonne position pour arriver à dormir. Je me réveille très fatiguée, et la journée est difficile. J’ai consulté plusieurs généralistes, neurologues et rhumatologues. J’ai aussi essayé le port de bas de contention… hélas, en vain ! J’appréhende les nuits car c’est toujours la même galère. Je vais mieux quand je suis debout. Merci à toutes celles qui voudront bien me prêter attention. Et peut-être me proposer un remède à mes misères. Nicole, réf. : 19JUIN2017/02