Maxi

7 conseils d’hygiène de vie et bien-être

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Marcher : 30 à 40 mn chaque jour, c’est vraiment le minimum. En réalité, 1 h, voire 1 h 30, semble nettement plus proche des 10000 pas quotidiens recommandé­s par l’OMS (Organisati­on mondiale de la santé). Achetez un podomètre (boutique de sport) ou télécharge­z une appli sur votre smartphone. Se coucher tôt, se lever tôt : le manque de sommeil entraîne fatalement une baisse de la dopamine. Et presque aussi souvent une prise de poids. Dormir sept à huit heures par nuit est indispensa­ble si vous cherchez à contrôler votre poids, mais aussi simplement pour rester en bonne santé ! Planifier : un bon moyen de soutenir sa dopamine, car le cerveau ne fait pas tant de différence que cela entre planifier un événement et le réaliser. Tout ce que vous inscrirez sur votre agenda aura la même fonction : des repères qui rythment votre emploi du temps. Prévoir quelque chose de nouveau chaque jour, puis le réaliser. Dès qu’il y a changement (et plaisir), il y a dopamine. Le simple fait de prendre son bus une station plus loin, de changer de parcours, de se rendre à la piscine plutôt qu’à la salle de sport, de s’inscrire à un événement auquel on n’est encore jamais allé (concert, conférence publique…), de déjeuner ailleurs que d’habitude, etc., provoque une sécrétion de dopamine. S’octroyer au quotidien un temps libre de calme, de silence, et méditer. Profiter de l’instant présent, observer la nature, s’extasier sur une oeuvre d’art, un morceau de musique, un joli meuble, un bijou rare… Méditer augmente significat­ivement le taux de dopamine, car le cerveau en retire un grand plaisir et va donc en sécréter. Partager chaque petit progrès accompli sur son réseau social. Photos de plats alléchants, mantras alimentair­es, nombre de pas effectués par jour… : tout est bon pour « prouver » au monde que l’on est sur la bonne voie et, qu’en retour, la communauté nous encourage, nous félicite, bref nous « récompense », ce qui est exactement la fonction de la dopamine. Bien contrôler son stress (sans l’éliminer totalement). En effet, apprendre à le gérer permet d’augmenter son niveau de dopamine. Inutile d’essayer d’éviter absolument toute forme de stress, mieux vaut apprendre à esquiver les coups et à se débrouille­r afin que les inévitable­s petites agressions du quotidien se transforme­nt, sinon en mini-stimulants (l’idéal), du moins en gouttes d’eau inoffensiv­es glissant sur vous.

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