Maxi

Grâce à Maxi

Elles se sont fait des amies. Pourquoi pas vous ?

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Aujourd’hui, avec les réseaux sociaux, les forums, les groupes FaceBook, il n’a jamais été aussi facile de nouer des contacts en envoyant un SMS ou « likant » une photo. Pourtant, dans les magazines, les services courrier reçoivent encore des lettres de lectrices qui veulent exprimer leur

Fidèle lectrice de Maxi, j’ai participé au Café Maxi de Montpellie­r il y a un an et demi. J’ai été ravie à l’idée de rencontrer des membres de la rédaction, de découvrir un peu les coulisses de

M et d’échanger avec d’autres lectrices. Après la soirée, je me suis retrouvée dans le hall de l’hôtel où s’était déroulé le Café Maxi, avec Isabelle et Florence. Nous avions envie de prolonger ce moment singulier et nous nous sommes mises à parler de nos passions. Florence travaille dans l’humanitair­e et part régulièrem­ent en Afrique car elle a récolté des fonds pour construire une école, et Isabelle aime la décoration soutien quand un témoignage les a touchées ou qui souhaitent proposer leur aide. C’est ainsi que Magali a rencontré deux de ses meilleures amies dans les pages de Maxi, il y a 25 ans, tandis que Laurence a profité des rencontres qu’offrent aujourd’hui les Cafés Maxi. N’attendez plus pour vous inscrire et nous écrire ! et les concours. Moi aussi, j’adore voyager, je réalise des costumes, notamment pour le carnaval de Venise et je fais également de nombreux concours. Nous avons donc échangé nos numéros de téléphone, puis on a rapidement déjeuné toutes les trois. On communique plusieurs fois par semaine par Messenger, Facebook ou par téléphone pour parler de nos loisirs, mais aussi des articles que nous avons lus. Cet été, j’ai gagné à un concours sur Facebook et j’ai remporté une journée « VIP » pour deux personnes sur une plage privée de l’Hérault, avec transats, parasols et déjeuner. C’est tout naturellem­ent que j’ai pensé à inviter Isabelle qui, comme moi, était en vacances. Durant cette journée, nous avons parlé cuisine, déco, de nos vies et cela a encore renforcé notre amitié. D’ailleurs, nous nous sommes promis de refaire des journées plage l’année prochaine. Moi qui n’ai que des amis d’enfance ou de longue date, je ressens les mêmes liens avec Isabelle et Florence. Un vrai feeling est passé entre nous au point que nous avons l’impression de nous connaître depuis toujours. Je suis très heureuse de ces deux amitiés inattendue­s.

˝ Grâce au Café Maxi, nous avons noué des liens très forts ˝ Laurence, 53 ans, mariée, sans enfant, diététicie­nne, Avignon (84)

˝ Deux lectrices ayant répondu à mon appel à l’aide sont devenues des soeurs pour moi ˝

Magali, 51 ans, mariée, 2 enfants, mère au foyer, Vedène (84)

Il y a vingt-cinq ans, mon père est décédé et j’avais besoin de soutien. J’achetais Maxi depuis plusieurs années et, chaque semaine, je lisais des témoignage­s de femmes qui rencontrai­ent, elles aussi, des difficulté­s dans leur vie. C’est naturellem­ent que j’ai écrit au magazine, car j’étais sûre qu’une lectrice serait touchée par mon histoire et me répondrait. J’ai envoyé une lettre expliquant que j’étais malentenda­nte et que je cherchais des amis pour me soutenir après la perte de mon père.

Deux mois plus tard, j’ai eu la surprise de voir que ma lettre avait été publiée dans Maxi et, dans les trois semaines qui ont suivi, j’ai reçu une grande enveloppe contenant plus d’une trentaine de lettres que m’avaient adressées les lectrices. J’ai répondu à toutes, mais deux m’ont particuliè­rement touchée : Karine, qui avait trouvé les mots pour me réconforte­r, et Magali qui, en plus d’avoir le même prénom que moi, avait également perdu son père. À cette époque, j’habitais Reims, et Magali, Paris : on a pensé qu’il serait sympa de se rencontrer. Elle est venue visiter Reims et je suis allée plusieurs fois à Paris. Karine, elle, habite près de Chambéry et dès que je lui ai dit que j’allais en vacances près de chez elle, elle m’a invitée à passer la voir. Dès notre première rencontre, nous avons accroché l’une avec l’autre, comme si on avait des points communs de longue date. Moi qui n’ai pas de soeur, j’étais contente d’avoir deux nouvelles amies. Avec la distance, on ne pouvait pas se voir tous les jours. En revanche, on s’envoyait des textos quotidienn­ement. Au fil des années, les événements de nos vies nous ont encore rapprochée­s. Nous avons connu nos maris quasiment en même temps, nous avons eu nos enfants à quelques mois d’intervalle. Magali, comme moi, a changé de région… Avec Karine, nous avons fait plusieurs randonnées. Erwann et Kieran, mes fils, qui ont 24 et 20 ans, ont même passé des vacances chez elle et Magali nous a fait visiter Paris en famille de nombreuses fois. Je sais que si je ne vais pas bien, je peux leur téléphoner à n’importe quelle heure. Elles m’écouteront et me donneront de bons conseils. Cela fait vingt-cinq ans que nous sommes amies, on ne s’est jamais disputées et on pourrait difficilem­ent se passer les unes des autres.

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