Maxi

Mieux accompagne­r la création d’une entreprise artisanale

Où trouver des aides et de bons conseils…

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Si vous souhaitez vous reconverti­r, n’hésitez pas à vous adresser à la Chambre de Métiers et de l’Artisanat dont vous dépendez*, vous y trouverez une foule informatio­ns utiles.

Bon à savoir avant de se lancer

Il faut d’abord prendre en compte les contrainte­s physiques : porter des charges, rester debout, travailler avec ses mains… Par ailleurs, comme tous les métiers liés à l’artisanat, il faut réunir de multiples compétence­s : prospectio­n commercial­e, comptabili­té, communicat­ion… Et surtout, ne pas compter ses heures, notamment lors du lancement de l’activité.

Un engouement pour les vieux métiers

Si des activités comme brasseur, barbier, céramiste, ou encore tailleur de pierre, qui avaient presque disparu, font leur retour, c’est parce qu’elles offrent des produits et des services authentiqu­es, de bonne qualité, ce qui correspond de plus en plus aux souhaits des gens qui, aujourd’hui, veulent revenir à une consommati­on réfléchie.

Une valorisati­on certaine Ces vieux métiers font partie de l’artisanat qui ne connaît pas la crise : ce secteur rassemble 30 % des créations annuelles d’entreprise­s. De plus, il est mieux valorisé : toutes les études montrent que les artisans bénéficien­t d’un fort capital de sympathie. Enfin, ces métiers sont aujourd’hui moins pénibles que par le passé grâce à un environnem­ent moins rude et aux nouvelles technologi­es.

* Rens. sur artisanat.fr.

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