Maxi

Profitez des loisirs en toute sécurité

Enfin les vacances au grand air et en pleine nature, pour pratiquer des loisirs pédestres ou nautiques. Comment bien se préparer pour bouger et s’amuser sans mettre sa santé en jeu.

-

Marcher et grimper en montagne, plonger, nager ou naviguer, ou bien rouler en pleine nature… cela ne va pas de soi. Surtout si l’on ne pratique pas régulièrem­ent ces activités, et a fortiori dans des conditions parfois intenses ! Cela se prépare, notamment en se référant aux recommanda­tions du ministère de la Santé et des Solidarité­s, sur prevention­ete.sports.gouv.fr !

Prudence en marchant De nombreux sentiers balisés vous attendent. Vous êtes paré, carte en main et téléphone chargé ? Ce n’est pas tout…

De bonnes chaussures et un sac à dos équilibré permettent de limiter bien des douleurs. Demandez conseil en magasin spécialisé. Le jour J, comme avant toute activité physique, on s’échauffe en commençant à marcher en douceur, et en faisant des pauses pour étirer les chevilles, les genoux, les muscles des mollets et des cuisses… très sollicités. Et en cas de contractur­es ou de sciatique qui se réveille, faites une pause avant de repartir quand ça va mieux, ou rebroussez chemin le cas échéant.

Gare aux ampoules également : désinfecte­r et mettre un pansement aussitôt. On pense donc à partir avec une trousse de secours comprenant des pansements, un désinfecta­nt, une bande de maintien et une bonne crème solaire SPF 50. Un méchant coup de

soleil n’est pas sans risque. les orages de l’été, notamment en montagne où les températur­es chutent rapidement. Renseignez­vous avant de partir, quitte à renoncer en cas d’intempérie­s annoncées. Dans tous les cas, on prend de quoi se couvrir.

Passé le cap des 2000 m en montagne, il n’est pas rare d’avoir des maux de tête, des nausées éventuelle­ment, et de se sentir très fatigué lorsque l’oxygène se raréfie. Plus le changement d’altitude est rapide, plus le risque est élevé, surtout à l’approche des 4000 m, mais à chacun son seuil limite. Pour éviter les symptômes, mieux vaut monter par paliers et faire escale dans un refuge tous les 1000 à 1500 m quand on est très sensible, le temps de s’habituer. Et s’ils ne passent pas, il ne reste plus qu’à redescendr­e.

Prévoyance dans l’eau Mer, lacs ou rivières peuvent réserver de mauvaises surprises. On ne s’aventure pas à la légère. tournant au malaise pour les autres. Quand on est piqué, on ôte les filaments avec un objet fin (bout de carton, carte de crédit…), et on rince la partie touchée avec de l’eau de mer. On applique ensuite une crème antihistam­inique. Ne pas hésiter à aller au poste de secours si on ne se sent pas bien.

 ??  ??

Newspapers in French

Newspapers from France