Maxi

BIEN DORMIR POUR VIVRE PLUS LONGTEMPS

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Le sommeil, c’est indispensa­ble à la santé physique autant que mentale. On le savait bien. Mais dans quelle proportion le manque l’impacte-t-elle ? Des chercheurs californie­ns ont évalué les conséquenc­es d’une réduction du sommeil paradoxal, c’est-à-dire de la phase proche de l’état de veille pendant laquelle nous produisons les rêves dont nous nous souvenons : une simple baisse de 5 % élève le taux de mortalité de 11 à 17 % chez les adultes (toutes causes confondues). Si la raison reste encore à expliquer, on aura compris qu’il vaut mieux soigner son sommeil, sans médicament de préférence, grâce à une bonne hygiène de vie incitant à bouger plus dans la journée, et à limiter l’alcool et les écrans le soir.

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