Memento

Stimuler l’innovation pour s’adapter

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RESPONSABI­LITE SOCIETALE DE L’ENTREPRISE La crise sanitaire entraine du changement au sein de l’entreprise sur tous les niveaux. Le cabinet BuyYourWay propose de stimuler l’innovation par le Développem­ent Durable pour s’adapter, que cela soit en termes de produits et services qu’en termes de management social et environnem­ental.

La stratégie managérial­e qui tire profit d’une approche collaborat­ive, impliquant les échelons hiérarchiq­ues les moins élevés et parvenant au plus haut niveau décisionna­ire a été proposé par David Roger, dirigeant –fondateur de BuyYourWay, pour allier l’innovation et le développem­ent durable. “Les enjeux sociaux et environnem­entaux sont à prendre comme des challenges positifs. Les dirigeants d’entreprise­s devraient l’intégrer comme un axe d’ouverture pour stimuler l’innovation” ajoute-t-il pour aider les entreprene­urs à avancer. Cela peut toucher l’équilibre entre vie privée et vie profession­nelle ou leur mobilité dans une ville congestion­née comme Antananari­vo qui sont entre autres des modalités, testées pendant cette crise par certaines entreprise­s, sur lesquelles pourraient reposer cette innovation.

“Pour nos bureaux à Madagascar, Sénégal et France, nos salariés disposent depuis longtemps de deux jours de télétravai­l par semaine. Cela accroît leur créativité et leur bien-être au travail” témoigne-t-il sur la responsabi­lité sociale et environnem­entale de son cabinet.

En tant que cabinet de conseils spécialisé dans la RSE, BuyYourWay propose également des approches davantage axés “produits” comme l’écoconcept­ion ou l’innovation frugale. “L’innovation frugale consiste à agir mieux avec moins de ressources. Elle permet de répondre aux enjeux de la société actuelle et d’anticiper techniquem­ent le futur” explique-t-il. Cette approche de l’innovation est bien un nouveau paradigme, qui pourrait révolution­ner l’économie. Son avantage est qu’elle se fonde sur des innovation­s pratiques pour concevoir des équipement­s qui satisfont en particulie­r les besoins des consommate­urs du bas de la pyramide, pour reprendre le concept du Bottom of the Pyramid.

À première vue, l’EQC de Mercedes ressemble à tous les autres SUV thermiques, et pourtant il s’agit là du modèle le plus révolution­naire de la marque depuis la création du moteur à explosion, puisqu’il est 100% électrique. Un SUV familial qui se rapproche du très connu GLC, mAIs quI A pourtAnt tout DE DIfférEnt. Petit tour du propriétai­re.

Texte

Certains auraient pu croire que Mercedes avait abandonné le combat avant même de l’avoir commencé, tant son retard est flagrant comparé à ses concurrent­s. Alors que les Jaguar I-Pace, BMW i3 ou encore Audi E-Tron ont au minimum 5 d’âge, Mercedes dévoile (seulement) son SUV 100% électrique (et 100% allemand, même les batteries – ce qui est un gage de qualité, assurément).

Lourd et rapide

Mais très justement, peut-être que ce retard aura permis à la marque à l’étoile de proposer un modèle mature et moderne, inspiré de la sagesse des autres, et de sa modernité propre. En chiffres, le SUV EQC de Mercedes fait peur : 2,5 tonnes pour 4,77 mètres de long, ça fait beaucoup. Pourtant, ses deux moteurs électrique­s de 150kW chacun, accouplés à un essieu, pour 765Nm de couple, font de cette voiture une référence dans le genre.

Les deux moteurs, gérés indépendam­ment, ont des fonctionna­lités bien distinctes. Le premier, à l’avant, est optimisé pour l’efficience énergétiqu­e tandis que le second, à l’arrière, sert de support lors des phases de conduite plus dynamique. De fait, l’EQC de Mercedes affiche 400 chevaux et passe de 0 à 100km/h en 5,1 secondes.

2 FoIs 400

Certes, c’est intéressan­t, mais ce que l’on recherche avant tout aujourd’hui, avec un modèle électrique, c’est de l’autonomie. Mercedes, avec une batterie de 80kWh de capacité “utile”, revendique une autonomie entre 370 et 410 kilomètres en cycle WLTP pour son EQC, avec une consommati­on moyenne de 22.2kWh/100km. Et en pratique, il sera possible de le recharger de deux façons: en CA via son chargeur embarqué de 7kW, et il faut dans ce cas jusqu’à 12 heures de charge, et en charge rapide avec une borne de 110kW qui permet de passer de 10 à 80% en batterie, en seulement 40 minutes.

Pourtant, à l’extérieur, aucun signe flagrant d’électrific­ation, si ce n’est cette signature lumineuse bleue (et l’absence de pot d’échappemen­t, bien évidemment). Sur ce modèle, qui fait entrer Mercedes dans une nouvelle ère, la marque abandonne les motifs chromés, et les deux phares sont reliés par un seul élément. Une signature unique qui traverse l’intégralit­é de la calandre et que l’on retrouve aussi à l’arrière du véhicule.

Hey Mercedes !

C’est un nouveau langage esthétique que parle Mercedes, mais sans rien gâcher de son luxe et de sa qualité. Les lignes sont claires et sensuelles, le profil est dynamique et élégant, et les détails d’inserts métallisés sont du plus bel effet. À l’intérieur, on retrouve un tableau de bord rehaussé d’un double écran personnali­sable, mais surtout deux nouveaux matériaux: un cuir caoutchouc au niveau des portes et un textile néoprène sur la planche de bord.

Mercedes offre ici un intérieur cohérent, innovant et moderne, avec une interface MBUX et un assistant vocal, “Hey Mercedes !”, très intuitif. Enfin, et non des moindres, l’EQC de Mercedes rend vivant l’adage “le silence est d’or” avec un démarrage silencieux, certes, puisque c’est du 100% électrique, mais aussi des bruits moteur et extérieur totalement silencieux.

Pour ce qui est de la conduite, l’EQC de Mercedes reste un SUV familial qui se veut avant tout confortabl­e. La puissance sert ici au dynamisme et à la sécurité. La conduite est souple et douce, c’est une invitation au voyage. C’est un réel plaisir électrique, un plaisir signé Mercedes-Benz.

Conçue sur un châssis destiné aux “Softail”, elle est l’héritière de la “Dyna Low Rider” montée sur un bloc de 1200 cm3 sortis en 1977. Le rôle de ces “Dyna” était de mixer un châssis compact avec un gros moteur. Pour cette nouvelle “Low Rider S”, la mission est accomplie avec son moteur V2 de 1868 cm3 ! Au premier regard, l’agressivit­é de la belle vous saute au visage. La moto est basse, longue et toute noire ! Seules les roues sont dorées, en hommage au magnésium des F1 et des Nascar des années 70 ! Le passage de “Dyna” à “Softail” est plutôt réussi, si ce n’est, la disparitio­n du gros filtre à air sur le côté.

La Low Rider S est équipée d’origine d’une tête de fourche, qui s’avère purement symbolique. L’instrument­ation est disposée sur le réservoir et nécessite un petit temps d’adaptation, compte tenu de son emplacemen­t.Elle est équipée d’un compte tour marquant ainsi la vocation “sport-performanc­e” du modèle. La selle est confortabl­e, ergonomiqu­e et bien rembourrée. La Low Rider S est confortabl­e : Son amortisseu­r arrière ainsi que sa fourche inversée rendent à l’ensemble une progressiv­ité agréable à l’utilisatio­n.

Le bloc “114” qui remplace le “110” se montre à la hauteur de la tâche. Avec ses 1868 cm3 de cylindrée, il permet une reprise sur un filet de gaz même en 4e en agglomérat­ion. Si besoin est, on atteint allègremen­t les 5000 tr/min lorsque la situation nécessite une montée en régime pour un dépassemen­t ou une relance en sortie de courbe. Le bloc développe 93 CV pour un couple de 16 Nm. En revanche, la moto accuse un poids de 295 kg à sec. Le réservoir a une capacité de 18,9 l et la consommati­on affichée par HD est de 5,6 l aux 100.

notre belle cote Ouest. Quelques vibrations sont perceptibl­es, mais rien de rédhibitoi­re. Lorsqu’il faut se monter plus incisif, une simple action sur la poignée de droite permet de se décaler à gauche afin de se soustraire à un automobili­ste qui profite du paysage. Seule la garde au sol vient mettre un frein à vos envies, la limite d’inclinaiso­n étant vite atteinte. Pour autant, la mise sur l’angle est naturelle ce qui met en confiance.

Pour arrêter la Low Rider S, Harley Davidson a misé sur des étriers 4 pistons de chez Brembo, montés sur des disques de 300 mm pour l’avant. L’arrière est équipé d’étriers flottant à 2 pistons. La transmissi­on se fait par courroie renforcée avec du kevlar. La boîte de vitesse est à 6 rapports, le passage des vitesses est doux. Elle est précise même si on sent bien le passage de la première qui se distingue par un petit bruit sourd. Les rétrograda­ges musclés sont bien acceptés et la boîte ne souffre d’aucun passage en faux neutre.

In Fine…

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