Coup d’oeil dans le rétro... Les Sims
C’est en 2000 qu’arrive sur le marché un jeu vidéo hors du commun. Un jeu où il n’y a rien à gagner, un jeu qui simule la « vie », un jeu sans véritable fin ou presque : les Sims.
En 2014 sort la version 4, suivie en 2017 des versions pour consoles Xbox One et PS4, des opus calqués sur l’édition PC. En parallèle, plusieurs add-ons vont offrir de nouvelles aventures aux joueurs. Au total, on parle d’un jeu vendu à plus de 100 millions d’exemplaires dans le monde, sans compter les DLC. Au fil du temps, le jeu va évoluer profondément. On passe d’un couple qui « reçoit » un bébé devant sa porte, la cigogne sûrement, à des personnages qui vieillissent, meurent et sont remplacés par les générations suivantes qui, elles aussi, passent du stade bébé à celui de jeune adulte, adulte, puis un jour senior. Vous l’aurez compris, on peut « perdre » dans les Sims si l’on meurt sans descendance. D’une simple personnalisation, l’amateur est aujourd’hui devant une machine à créer des humains virtuels assez complète. Les extensions du jeu permettent d’aller encore plus loin en s’essayant aux fées ou aux vampires par exemple. Le jeu est simple, il faut aider ses Sims à se réaliser, travailler leur bien-être, leur satisfaction, leurs loisirs, etc. C’est aussi un des jeux où les micro-paiements ont assuré leur succès, les joueurs ayant toujours envie de personnalisation. Les Sims ayant été le premier simulateur de vie, de nombreux éditeurs ont tenté de surfer sur la vague mais, 20 ans plus tard, seuls les Sims sont encore sur nos écrans.