« Rien à voir avec le championnat »
Quelle a été l’influence de Stuart Lancaster cette année ?
Il nous laisse beaucoup nous exprimer sur le terrain, et il veut qu’on joue le jeu du Leinster, avec du mouvement et des passes. Qu’on montre ce qu’au vaut, ce qu’on a. Il nous encourage à travailler dur et à donner toute notre énergie.
À quel point est-ce un avantage de jouer cette demi-finale à la maison ?
C’est évidemment un avantage d’être à la maison. Les Scarlets sont une bonne équipe, qui va être suivie par de nombreux avec des supporters. C’est une équipe faite pour les grands matchs, avec des joueurs qui en ont l’expérience. Leur public aussi a l’habitude de ces grands matchs donc il vaut mieux les jouer à domicile. Ça va nous aider.
Les Scarlets sont une équipe que vous connaissez bien, pour les affronter régulièrement en championnat. Cette semaine est-elle donc différente de celle qui a précédé les Saracens ?
En fait, c’est assez similaire. On sait que ce sont des semaines où il y a de la tension parce que c’est une demifinale de Coupe d’Europe, c’est un nouveau gros match qui nous attend. Bien sûr c’est une semaine particulière puisqu’il y a un enjeu important, le billet pour la finale. Ce sera un autre gros match après celui des Saracens donc c’est presque pareil.
Votre résultat d’il y a deux mois en championnat (victoire 20 à 13) peut-il avoir un impact ?
Non parce que ça n’a rien à voir. C’était un match de championnat. Là il est question d’une demi-finale de Coupe d’Europe donc ce n’est pas le même match.