Midi Olympique

BUT internatio­nal, c’est rugby !

- Par Philippe OUSTRIC

Rarement une marque s’est imposée aussi naturellem­ent dans son nouveau rôle de partenaire­s des Oscars Midi Olympique, comme une évidence !

BUT Internatio­nal, c’est surtout le plus beau maillage qui soit en France :

310 magasins, 7 000 employés, une identité bien à part et une présence bien affirmée dans les villes moyennes, en prise directe avec la ruralité française. Mais But, ce géant de l’aménagemen­t de la maison à tous les étages (cuisine, meuble, literie), qui a su capitalise­r et se développer partout durant la covid, c’est, avant toute chose, un état d’esprit, une ADN rugby : « C’est un groupe qui a toujours travaillé sur l’humain et pas sur le résultat ! Le résultat, il est venu naturellem­ent car il existe chez nous une vraie culture d’appartenan­ce forte à notre marque. Les employés de BUT sont heureux et fiers de travailler pour nous et ça se ressent ! C’est comme dans un club ou cette équipe de France qui nous donne à nouveau envie, qui nous fait rêver. L’essentiel, c’est ce partage, cette connexion, cette bienveilla­nce et ambition communes… » À sa façon, Frédéric Holgado, directeur de But Bayonne, également président du club de Libourne, traduit parfaiteme­nt cet état d’esprit ; Lundi dernier, les Oscars Midol ont superbemen­t honoré le club de Biarritz et 80 % des employés basques de BUT se trouvaient là, naturellem­ent… « Notre force, c’est le réseau et notre bienveilla­nte disponibil­ité. Nous avons pour habitude de nous lier fortement avec nos clients, de les suivre sur plusieurs années. Nous attachons une vraie importance à l’obtention de références qui viennent concrétise­r nos engagement­s sur le terrain de force de vente.» Frédéric Holgado ne croit pas si bien dire : « Le samedi, Pascal Ondarts passe très souvent chez nous avant d’aller à

Aguilera ! (rires). C’était important de se retrouver, d’apporter de la joie à Biarritz et nous le ferons vite aussi à Bayonne. Cet ADN de partage, de solidarité, c’est notre marque de fabrique, celle du rugby ; j’ai énormément apprécié que le nom de tous les petits clubs amateurs de France se trouve sur le maillot des

Bleus du XV de France, ça fait chaud au coeur ! Les temps sont durs mais avec ces Bleus-là, les jeunes vont revenir… »

Et BUT Internatio­nal continue à se développer partout en France. Pas étonnant à l’énoncé d’anciens joueurs comme Frédéric Bonnesso (Stade toulousain, Sud-Ouest), Olivier

Portes (fils de l’ancien président de Béziers, Languedoc) ou encore Frédéric Crevesy (Paca) sont à la manoeuvre sur de larges territoire­s. Pas une ville de Top 14 ou de Pro D2 n’y échappe, droit au BUT !

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