Des vols très réalistes
fixe à l’arrière ! Le décollage, en revanche, est facile. Un peu plus de la moitié des gaz suffit (même sur une piste en herbe), Vivette garde facilement son axe pendant l’accélération et décolle sur une petite sollicitation de la profondeur.
Le vol au moteur peut être très réaliste en enchaînant simplement des cercles, des huit, des passages bas et des tours de piste. Grâce à une charge alaire modérée et aux réglages indiqués, le décrochage intervient très tardivement. Le surplus de puissance de la motorisation et les débattements retenus permettent cependant de passer facilement les figures du brevet A fédéral, boucles, tonneaux, renversements...
En version planeur, il suffit de déposer l’hélice, de changer de capot moteur et d’enlever le faux réservoir. Le vol est très réaliste, après un remorquage qui nécessite un simple FunCub XL par exemple. La finesse est comparable à celle d’un bon PSS.
L’atterrissage est une simple formalité… Comme il n’y a pas de volets ni d’aérofreins, il faut bien positionner son dernier virage en fonction du vent et laisser le modèle aller sur sa pente de descente, arrondir légèrement et laisser rouler… Vivette n’a pas tendance à passer sur le nez.
Vous pouvez retrouver la vidéo de l’aventure de Vivette dans le Cotentin sur la page Facebook de mon club : https://www.facebook.com/club. aeromodelisme.choisille.37/ videos/291446488377694